Guinée. Les présidentielles avant la fin 2025
Le porte-parole du gouvernement guinéen a estimé jeudi que l'élection présidentielle pourrait avoir lieu avant la fin de l'année 2025, lors d'un entretien à Radio France Internationale (RFI).
Lilia HabboulLe porte-parole du gouvernement guinéen, Ousmane Gaoual Diallo
Le porte-parole, Ousmane Gaoual Diallo, a déclaré jeudi dans cet entretien que des élections présidentielles, ou législatives, pourraient se tenir en octobre, après un référendum pour l'adoption d'une nouvelle Constitution, « probablement » en mai.
A la question du journaliste de savoir si le référendum se déroulera au mois de mai, le porte-parole a répondu: « Probablement au mois de mai ».
« On a une longue période pluvieuse qui n'est pas propice à l'organisation des élections. Je pense qu'il faut compter à partir de septembre-octobre pour les élections suivantes », a-t-il ajouté, en référence aux scrutins présidentiel et législatif.
Le général Mamadi Doumbouya, avait promis dans ses vœux du Nouvel an que 2025 serait une « année électorale cruciale pour parachever le retour à l'ordre constitutionnel », mais les autorités n'avaient jusqu'alors donné aucune indication de calendrier.
Diallo, tout comme d'autres proches du général Mamadi Doumbouya, poussent pour que Doumbouya soit candidat à la présidentielle, même si celui-ci avait à de multiples reprises affirmé qu'il ne se présenterait pas.
La « charte de transition », impose qu'aucun membre ne se présente aux élections. L'adoption d'une nouvelle Constitution pourrait faire sauter ce verrou.
A la question du journaliste de savoir si le référendum se déroulera au mois de mai, le porte-parole a répondu: « Probablement au mois de mai ».
« On a une longue période pluvieuse qui n'est pas propice à l'organisation des élections. Je pense qu'il faut compter à partir de septembre-octobre pour les élections suivantes », a-t-il ajouté, en référence aux scrutins présidentiel et législatif.
Le général Mamadi Doumbouya, avait promis dans ses vœux du Nouvel an que 2025 serait une « année électorale cruciale pour parachever le retour à l'ordre constitutionnel », mais les autorités n'avaient jusqu'alors donné aucune indication de calendrier.
Diallo, tout comme d'autres proches du général Mamadi Doumbouya, poussent pour que Doumbouya soit candidat à la présidentielle, même si celui-ci avait à de multiples reprises affirmé qu'il ne se présenterait pas.
La « charte de transition », impose qu'aucun membre ne se présente aux élections. L'adoption d'une nouvelle Constitution pourrait faire sauter ce verrou.