Kenya. La sécurité alimentaire, un défi permanent
Le gouvernement kényan vient de lancer un programme d’un coût total de 5 milliards de dollars, visant à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans le pays.
Lilia Habboul
Baptisé «Programme de résilience alimentaire et nutritionnelle du Kenya» (FNRP), ce programme, étalé sur 10 ans, sera mis en œuvre avec la collaboration de plusieurs partenaires, dont la Croix-Rouge et l’Union africaine.
Selon les autorités, il cible 5 millions de personnes vulnérables à travers 24 comtés arides et semi-arides (ASAL).
«En renforçant les institutions locales et les systèmes gouvernementaux, en investissant dans des partenariats public-privé pour assurer la durabilité et en plaçant les communautés au centre de la prise de décision et de la mise en œuvre, nous veillons à ce que les communautés vulnérables soient non seulement nourries, mais aussi dotées des moyens de subvenir à leurs besoins», explique Ahmed Idris, secrétaire général de la Croix-Rouge au Kenya.
Les interventions seront principalement axées sur le renforcement du soutien à l’accès aux moyens de subsistance et à l’eau pour permettre aux communautés de se prendre en charge grâce aux pratiques agricoles, au développement de la chaîne de valeur et à l’amélioration de l’accès à l’eau potable.
Selon les autorités, il cible 5 millions de personnes vulnérables à travers 24 comtés arides et semi-arides (ASAL).
«En renforçant les institutions locales et les systèmes gouvernementaux, en investissant dans des partenariats public-privé pour assurer la durabilité et en plaçant les communautés au centre de la prise de décision et de la mise en œuvre, nous veillons à ce que les communautés vulnérables soient non seulement nourries, mais aussi dotées des moyens de subvenir à leurs besoins», explique Ahmed Idris, secrétaire général de la Croix-Rouge au Kenya.
Les interventions seront principalement axées sur le renforcement du soutien à l’accès aux moyens de subsistance et à l’eau pour permettre aux communautés de se prendre en charge grâce aux pratiques agricoles, au développement de la chaîne de valeur et à l’amélioration de l’accès à l’eau potable.