Politiques sociales : Le Maroc plaide pour une plus grande implication mondiale de l’Afrique
L’Ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale, a appelé, jeudi, à une plus grande implication de l’Afrique dans les politiques sociales mondiales.
Lilia Habboul
L’Ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale
S’exprimant par message vidéo à l’ouverture de la 11ème session du Forum régional africain sur le développement durable, qui se tient du 9 au 11 avril à Kampala, le diplomate marocain a souligné que ce Forum constitue un espace essentiel de dialogue et de coordination entre les gouvernements, la société civile, les milieux académiques et le secteur privé.
En sa qualité de co-facilitateur du processus onusien préparatoire au Deuxième Sommet mondial pour le développement social, prévu en novembre prochain à Doha, il a insisté sur l’importance des contributions africaines à la Déclaration politique en cours de négociation.
Il a salué l’engagement des participants en faveur de priorités africaines telles que l’éradication de la pauvreté, le plein emploi, l’inclusion sociale et l’amélioration des conditions de vie, tout en appelant à une mobilisation renforcée face aux défis du climat, de la démographie et de la digitalisation.
Trente ans après le Sommet social de Copenhague, l’Afrique doit saisir les opportunités de transformation sociale et économique, a-t-il indiqué, soulignant le rôle central que le continent est appelé à jouer dans l’élaboration d’un nouveau pacte mondial pour le développement social.
Le Sommet de Doha sera l’occasion de réaffirmer les engagements de Copenhague, tout en accélérant la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable, a-t-il précisé, ajoutant que cet événement débouchera sur une vision inclusive et orientée vers l’action.
Organisée conjointement par la Commission économique pour l’Afrique des Nations Unies (UNECA), le gouvernement ougandais, la Commission de l’Union africaine, la Banque africaine de développement et plusieurs agences onusiennes, la rencontre de Kampala est placée sous le thème : « Stimuler la création d’emplois et la croissance économique par des solutions durables, inclusives et fondées sur la science et les données pour l’Agenda 2030 de l’ONU et 2063 de l’Union africaine ».
En sa qualité de co-facilitateur du processus onusien préparatoire au Deuxième Sommet mondial pour le développement social, prévu en novembre prochain à Doha, il a insisté sur l’importance des contributions africaines à la Déclaration politique en cours de négociation.
Il a salué l’engagement des participants en faveur de priorités africaines telles que l’éradication de la pauvreté, le plein emploi, l’inclusion sociale et l’amélioration des conditions de vie, tout en appelant à une mobilisation renforcée face aux défis du climat, de la démographie et de la digitalisation.
Trente ans après le Sommet social de Copenhague, l’Afrique doit saisir les opportunités de transformation sociale et économique, a-t-il indiqué, soulignant le rôle central que le continent est appelé à jouer dans l’élaboration d’un nouveau pacte mondial pour le développement social.
Le Sommet de Doha sera l’occasion de réaffirmer les engagements de Copenhague, tout en accélérant la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable, a-t-il précisé, ajoutant que cet événement débouchera sur une vision inclusive et orientée vers l’action.
Organisée conjointement par la Commission économique pour l’Afrique des Nations Unies (UNECA), le gouvernement ougandais, la Commission de l’Union africaine, la Banque africaine de développement et plusieurs agences onusiennes, la rencontre de Kampala est placée sous le thème : « Stimuler la création d’emplois et la croissance économique par des solutions durables, inclusives et fondées sur la science et les données pour l’Agenda 2030 de l’ONU et 2063 de l’Union africaine ».
