Gitex Africa 2025. 1 000 emplois tech actés
Lors du Gitex Africa 2025, le ministère de l’investissement, de la convergence et de l’évaluation des politiques publiques, celui de la transition numérique et de la réforme administrative et l’AMDIE ont signé trois protocoles d'accord avec des géants internationaux de la tech. Le ministre Karim Zidane fait le point.
Mounia Kabiri Kettani
Le Maroc scelle trois deals tech à GITEX.
« Aujourd’hui, nous avons signé trois accords de partenariat avec des acteurs internationaux de premier plan dans les technologies, la numérisation et les services. C’est une étape majeure, » a déclaré Karim Zidane, Ministre délégué chargé de l’Investissement, de la Convergence et de l’Évaluation des Politiques Publiques, lors du Gitex Africa 2025.
En chiffres, plus de 1 000 emplois directs à l’horizon 2029, répartis entre Casablanca et Oujda, et près de 180 millions de dirhams d’investissements cumulés. Des engagements concrets, incarnés par trois noms : Arrow ECS Maroc, KPMG et 2T Services Maroc.
Cap sur Casablanca, où Arrow ECS compte relocaliser une partie de ses activités européennes, dans les domaines du management et des services partagés. L’entreprise projette 700 recrutements. À ses côtés, KPMG prévoit de renforcer son pôle conseil avec 150 emplois. Enfin, à Oujda, c’est 2T Services Maroc qui investira le nouveau City Center, avec 200 postes à la clé.
Au-delà des chiffres, c’est une nouvelle image que le Maroc entend projeter. « Notre pays ne se limite pas aux investissements traditionnels comme l’industrie ou le tourisme, mais qu’il est aussi un acteur clé dans les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle et la transformation numérique », affirme Karim Zidane ajoutant que « Cela encouragera d'autres partenaires internationaux à s'intéresser au Maroc ».
Pour le ministre, la jeunesse marocaine constitue l’un des leviers les plus puissants de cette attractivité nouvelle : « Une jeunesse multilingue, formée, créative, qui parle le langage du digital. Elle offre un terreau fertile pour les investisseurs internationaux. »
Au-delà des ports, des routes et des aéroports, c’est l’écosystème digital qui se densifie. Le Royaume s’est doté de services, de plateformes et de connectivités à même de soutenir une ambition continentale. « Le monde entre dans une nouvelle ère : celle de l’intelligence artificielle et de la numérisation. Le Maroc est prêt à jouer un rôle majeur et à mettre ses compétences au service de l’Europe, de l’Amérique, de l’Asie et de l’Afrique. », assure le ministre précisant qu’ en tant que ministère, « nous sommes pleinement engagés dans l’accompagnement des investisseurs et l’attraction de nouveaux projets d’avenir, conformément aux hautes orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI ».
En chiffres, plus de 1 000 emplois directs à l’horizon 2029, répartis entre Casablanca et Oujda, et près de 180 millions de dirhams d’investissements cumulés. Des engagements concrets, incarnés par trois noms : Arrow ECS Maroc, KPMG et 2T Services Maroc.
Cap sur Casablanca, où Arrow ECS compte relocaliser une partie de ses activités européennes, dans les domaines du management et des services partagés. L’entreprise projette 700 recrutements. À ses côtés, KPMG prévoit de renforcer son pôle conseil avec 150 emplois. Enfin, à Oujda, c’est 2T Services Maroc qui investira le nouveau City Center, avec 200 postes à la clé.
Au-delà des chiffres, c’est une nouvelle image que le Maroc entend projeter. « Notre pays ne se limite pas aux investissements traditionnels comme l’industrie ou le tourisme, mais qu’il est aussi un acteur clé dans les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle et la transformation numérique », affirme Karim Zidane ajoutant que « Cela encouragera d'autres partenaires internationaux à s'intéresser au Maroc ».
Pour le ministre, la jeunesse marocaine constitue l’un des leviers les plus puissants de cette attractivité nouvelle : « Une jeunesse multilingue, formée, créative, qui parle le langage du digital. Elle offre un terreau fertile pour les investisseurs internationaux. »
Au-delà des ports, des routes et des aéroports, c’est l’écosystème digital qui se densifie. Le Royaume s’est doté de services, de plateformes et de connectivités à même de soutenir une ambition continentale. « Le monde entre dans une nouvelle ère : celle de l’intelligence artificielle et de la numérisation. Le Maroc est prêt à jouer un rôle majeur et à mettre ses compétences au service de l’Europe, de l’Amérique, de l’Asie et de l’Afrique. », assure le ministre précisant qu’ en tant que ministère, « nous sommes pleinement engagés dans l’accompagnement des investisseurs et l’attraction de nouveaux projets d’avenir, conformément aux hautes orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI ».