Fintech. L’AMMC à l’écoute de l’écosystème au GITEX Africa
Présente au GITEX Africa 2025, l’autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) a multiplié les échanges avec les acteurs de la fintech pour mieux cerner leurs besoins et affiner son approche d’accompagnement. Explications de Hicham Elalamy, directeur du pôle support et développement chez le régulateur.
Mounia Kabiri Kettani
Hicham Elalamy, directeur du pôle support et développement au sein de l’AMMC.
L’édition 2025 du GITEX Africa a été l’occasion pour l’AMMC de réaffirmer son engagement en faveur d’un développement structuré des fintechs au Maroc. Représentée par Hicham Elalamy, directeur du pôle support et développement au sein de l’AMMC, l’institution a activement participé aux discussions autour des enjeux réglementaires et structurels de ce secteur en pleine expansion.
« En rencontrant plusieurs dizaines de porteurs de projets, nous avons mesuré l’ampleur de leurs attentes », explique Hicham Elalamy. «Si l’aspect réglementaire reste fondamental, il ne constitue pas l’unique attente. Les dimensions technique, financière, ou encore la formation sont tout aussi essentielles. C’est ce qui a motivé la mise en place d’une démarche globale et intégrée nationale afin d’accompagner ces projets de manière cohérente et structurée», précise-t-il.
Une feuille de route nationale
Aux côtés de Bank Al-Maghrib et de l’ACAPS, l’AMMC participe à l’élaboration d’une feuille de route nationale dédiée à la fintech. L’objectif : fédérer tous les acteurs – régulateurs, banques, ministères, universités, incubateurs, entreprises tech – pour construire un écosystème solide et cohérent, capable de faire émerger une nouvelle génération d’innovateurs. Cette dynamique, portée par le Morocco fintech center (MFC), entend concilier performance, sécurité et inclusion financière. « L’ambition de MFC est justement de proposer un accompagnement pluridisciplinaire, adapté aux différents profils de porteurs de projets», note le responsable.
L’inclusion financière comme cap
Dans un pays où l’accès aux services financiers reste encore limité pour une large partie de la population, les fintechs apparaissent comme des catalyseurs de transformation, apportant des solutions agiles, inclusives et innovantes. Encore faut-il qu’elles soient encadrées et soutenues. « À l’AMMC, comme chez l’ensemble de nos partenaires, nous sommes convaincus que la fintech est un levier majeur pour renforcer l’inclusion financière. C’est aussi un vecteur d’efficience pour le marché, car les technologies permettent de réduire les délais, de baisser les coûts et de renforcer la sécurité des opérations. » affirme Hicham Elalamy.
S’agissant des perspectives du secteur, Hicham Elalamy se montre résolument optimiste. « Le secteur de la fintech est en pleine effervescence. Il a un fort potentiel, à condition qu’il bénéficie d’un accompagnement structuré, collectif et multidisciplinaire. C’est précisément l’objectif de l’initiative Morocco Fintech Center. »
« En rencontrant plusieurs dizaines de porteurs de projets, nous avons mesuré l’ampleur de leurs attentes », explique Hicham Elalamy. «Si l’aspect réglementaire reste fondamental, il ne constitue pas l’unique attente. Les dimensions technique, financière, ou encore la formation sont tout aussi essentielles. C’est ce qui a motivé la mise en place d’une démarche globale et intégrée nationale afin d’accompagner ces projets de manière cohérente et structurée», précise-t-il.
Une feuille de route nationale
Aux côtés de Bank Al-Maghrib et de l’ACAPS, l’AMMC participe à l’élaboration d’une feuille de route nationale dédiée à la fintech. L’objectif : fédérer tous les acteurs – régulateurs, banques, ministères, universités, incubateurs, entreprises tech – pour construire un écosystème solide et cohérent, capable de faire émerger une nouvelle génération d’innovateurs. Cette dynamique, portée par le Morocco fintech center (MFC), entend concilier performance, sécurité et inclusion financière. « L’ambition de MFC est justement de proposer un accompagnement pluridisciplinaire, adapté aux différents profils de porteurs de projets», note le responsable.
L’inclusion financière comme cap
Dans un pays où l’accès aux services financiers reste encore limité pour une large partie de la population, les fintechs apparaissent comme des catalyseurs de transformation, apportant des solutions agiles, inclusives et innovantes. Encore faut-il qu’elles soient encadrées et soutenues. « À l’AMMC, comme chez l’ensemble de nos partenaires, nous sommes convaincus que la fintech est un levier majeur pour renforcer l’inclusion financière. C’est aussi un vecteur d’efficience pour le marché, car les technologies permettent de réduire les délais, de baisser les coûts et de renforcer la sécurité des opérations. » affirme Hicham Elalamy.
S’agissant des perspectives du secteur, Hicham Elalamy se montre résolument optimiste. « Le secteur de la fintech est en pleine effervescence. Il a un fort potentiel, à condition qu’il bénéficie d’un accompagnement structuré, collectif et multidisciplinaire. C’est précisément l’objectif de l’initiative Morocco Fintech Center. »