Le SIAM, une source d’inspiration pour l’Afrique (ministre ougandais de l’Agriculture)
Le ministre d’État à l’Agriculture de la République de l’Ouganda, Fred Bwiino Kyakulaga, a salué, mercredi à Meknès, le Salon international de l’Agriculture au Maroc (SIAM), le qualifiant de « véritable leçon pour le continent » et de « source d’inspiration pour l’ensemble de l’Afrique ».
Lilia Habboul
Le ministre d’État à l’Agriculture de la République de l’Ouganda, Fred Bwiino Kyakulaga, et le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Ahmed El Bouari
Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une rencontre bilatérale avec le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Ahmed El Bouari, le responsable ougandais, en visite pour la première fois au SIAM, a fait part de son admiration pour la qualité des technologies, produits et services exposés, affirmant que ce salon constitue une démonstration de la capacité de l’Afrique à réussir et à relever les défis liés au développement.
Cette participation s’est également inscrite dans le cadre d’un échange de vues sur plusieurs thématiques agricoles, à l’occasion de rencontres tenues en marge de la 17ème édition du SIAM, notamment autour du lien entre eau et agriculture dans un contexte de changement climatique.
A cet égard, Kyakulaga a souligné l’importance de la coopération entre les pays africains pour développer des solutions collectives, en particulier face aux défis liés à l’irrigation et à la résilience climatique.
Faapa
Cette participation s’est également inscrite dans le cadre d’un échange de vues sur plusieurs thématiques agricoles, à l’occasion de rencontres tenues en marge de la 17ème édition du SIAM, notamment autour du lien entre eau et agriculture dans un contexte de changement climatique.
A cet égard, Kyakulaga a souligné l’importance de la coopération entre les pays africains pour développer des solutions collectives, en particulier face aux défis liés à l’irrigation et à la résilience climatique.
Faapa
LIRE AUSSI
