Musique
Mawazine 2025 : Michael Kiwanuka, la soul britannique sous les étoiles de Rabat
Kawtar Firdaous
Michael Kiwanuka se produira le 22 juin 2025 au Théâtre Mohamed V de Raba.
Lauréat du Mercury Prize pour son album "Kiwanuka", acclamé par la critique et le public, il a enflammé les scènes des plus grands festivals – de Glastonbury à Coachella – avec son style unique mêlant soul rétro, rock psychédélique et folk introspectif. À travers son style épuré et sincère, il incarne cette quête d’authenticité musicale que le Festival Mawazine - Rythmes du Monde poursuit avec ferveur.
On lui doit des titres cultes comme "Cold Little Heart" (connu notamment comme générique de Big Little Lies), "Home Again", "Love & Hate", ou encore "You Ain’t the Problem", qui ont conquis des millions d’auditeurs à travers le monde à travers de milliards de streams. Michael Kiwanuka, figure singulière de la scène britannique, dont la voix profonde et les chansons intimistes font écho à l’âme du monde s’est imposé comme l’une des voix les plus respectées du circuit indépendant mondial. Dans ses compositions, on entend Bill Withers, Otis Redding, Pink Floyd, mais aussi Radio head. Les influences sont là, mais digérées avec élégance. Ce qu’on entend surtout, c’est lui.
Né à Londres de parents ougandais exilés, il incarne cette classe discrète, cette puissance intérieure qui ne cherche jamais l’effet, mais provoque l’émotion pure. Il n’a eu de cesse de creuser son sillon. Celui d’une musique aux confins de la mélancolie, du doute, de la lumière.En 2024, après cinq ans de silence discographique, il revient avec Small Changes, un album plus apaisé, spirituel, doux comme une confidence. Produite par Danger Mouse et Inflo, cette nouvelle collection de morceaux, dont Floating Parade ou Lowdown (Part I), parle de paternité, de foi, d’alignement intérieur. Un disque à la fois humble et immense, qui prolonge son art du non-spectaculaire, dans une époque saturée de bruit.
En tournée mondiale depuis février, Kiwanuka fait salle comble partout – de la Philharmonie de Paris aux Nuits de Fourvière. Sa venue à Mawazine, rare et précieuse, offrira au public marocain un moment de grâce. Un moment suspendu.
Loin du tumulte des effets de scène, Michael Kiwanuka propose, le 22 juin au Théâtre National Mohamed V, un moment de pureté. Une simplicité rare, une émotion brute, une présence qui parle au cœur. L’élégance anglaise.
On lui doit des titres cultes comme "Cold Little Heart" (connu notamment comme générique de Big Little Lies), "Home Again", "Love & Hate", ou encore "You Ain’t the Problem", qui ont conquis des millions d’auditeurs à travers le monde à travers de milliards de streams. Michael Kiwanuka, figure singulière de la scène britannique, dont la voix profonde et les chansons intimistes font écho à l’âme du monde s’est imposé comme l’une des voix les plus respectées du circuit indépendant mondial. Dans ses compositions, on entend Bill Withers, Otis Redding, Pink Floyd, mais aussi Radio head. Les influences sont là, mais digérées avec élégance. Ce qu’on entend surtout, c’est lui.
Né à Londres de parents ougandais exilés, il incarne cette classe discrète, cette puissance intérieure qui ne cherche jamais l’effet, mais provoque l’émotion pure. Il n’a eu de cesse de creuser son sillon. Celui d’une musique aux confins de la mélancolie, du doute, de la lumière.En 2024, après cinq ans de silence discographique, il revient avec Small Changes, un album plus apaisé, spirituel, doux comme une confidence. Produite par Danger Mouse et Inflo, cette nouvelle collection de morceaux, dont Floating Parade ou Lowdown (Part I), parle de paternité, de foi, d’alignement intérieur. Un disque à la fois humble et immense, qui prolonge son art du non-spectaculaire, dans une époque saturée de bruit.
En tournée mondiale depuis février, Kiwanuka fait salle comble partout – de la Philharmonie de Paris aux Nuits de Fourvière. Sa venue à Mawazine, rare et précieuse, offrira au public marocain un moment de grâce. Un moment suspendu.
Loin du tumulte des effets de scène, Michael Kiwanuka propose, le 22 juin au Théâtre National Mohamed V, un moment de pureté. Une simplicité rare, une émotion brute, une présence qui parle au cœur. L’élégance anglaise.