L’Ethiopie, 3ème pays le plus dynamique d’Afrique
L’Éthiopie figure au troisième rang des pays africains les plus dynamiques en 2025, selon les dernières prévisions du FMI.
Lilia Habboul
Addis-Abeba, capitale de l’Éthiopie
L’Éthiopie occupe la troisième place dans la liste des prévisions de croissance économique des pays africains pour 2025, publiée par le Fonds monétaire international (FMI).
Selon les projections du FMI, l’Éthiopie devrait enregistrer un taux de croissance de 6,6 % l’an prochain, derrière le Sénégal (8,4 %) et le Rwanda (7,1 %). L’organisation a répertorié les performances attendues de quinze économies africaines.
Le FMI note que, malgré quatre années de crises successives, marquées par la hausse des coûts d’emprunt mondiaux, la contraction de la demande internationale et la volatilité des prix des matières premières, les pays d’Afrique subsaharienne ont su faire preuve de résilience.
Dans son rapport, l’institution souligne que la stabilisation de la dette publique reste possible dans la majorité des cas, malgré des niveaux d’endettement élevés. Elle encourage les gouvernements de la région à privilégier la prudence, la cohérence et la crédibilité pour consolider les acquis économiques et renforcer la résilience face aux incertitudes.
Le FMI rappelle également que, historiquement, plusieurs pays africains sont parvenus à stabiliser ou réduire leur dette sans passer par des restructurations, même après la fin du supercycle des matières premières.
Selon les projections du FMI, l’Éthiopie devrait enregistrer un taux de croissance de 6,6 % l’an prochain, derrière le Sénégal (8,4 %) et le Rwanda (7,1 %). L’organisation a répertorié les performances attendues de quinze économies africaines.
Le FMI note que, malgré quatre années de crises successives, marquées par la hausse des coûts d’emprunt mondiaux, la contraction de la demande internationale et la volatilité des prix des matières premières, les pays d’Afrique subsaharienne ont su faire preuve de résilience.
Dans son rapport, l’institution souligne que la stabilisation de la dette publique reste possible dans la majorité des cas, malgré des niveaux d’endettement élevés. Elle encourage les gouvernements de la région à privilégier la prudence, la cohérence et la crédibilité pour consolider les acquis économiques et renforcer la résilience face aux incertitudes.
Le FMI rappelle également que, historiquement, plusieurs pays africains sont parvenus à stabiliser ou réduire leur dette sans passer par des restructurations, même après la fin du supercycle des matières premières.
