Souveraineté alimentaire,. Le Sénégal relève le défi
Le ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage a procédé au lancement du Programme de résilience du système alimentaire.
Lilia Habboul
Ce nouveau programme sera mis en œuvre dans les six prochaines années avec un financement de 132 milliards de francs CFA de la Banque mondiale et du Fonds international de développement agricole (FIDA).
« Ce programme est une réponse concrète, structurée et régionale. Il a été élaboré pour renforcer la résilience de nos systèmes agricoles en stimulant l’innovation et l’investissement privé », a expliqué Mabouba Diagne, le ministre chargé de ce département ministériel, jugeant ce programme « hautement pertinent ».
Cette initiative soutenue financièrement par la Banque mondiale et le FIDA va servir à « anticiper les chocs climatiques », selon M. Diagne.
«Nous vivons une époque où les défis sont nombreux : crises climatiques, dépendance alimentaire, instabilité des marchés agricoles, pression démographique, etc. Mais ces défis ne sont pas une fatalité », a-t-il dit.
Le programme agricole va faciliter l’accès des agriculteurs aux financements et aux marchés, en plus d’augmenter leurs capacités de gestion. 600.000 agriculteurs, dont 240 000 femmes, vont en bénéficier.
« Ce programme est une réponse concrète, structurée et régionale. Il a été élaboré pour renforcer la résilience de nos systèmes agricoles en stimulant l’innovation et l’investissement privé », a expliqué Mabouba Diagne, le ministre chargé de ce département ministériel, jugeant ce programme « hautement pertinent ».
Cette initiative soutenue financièrement par la Banque mondiale et le FIDA va servir à « anticiper les chocs climatiques », selon M. Diagne.
«Nous vivons une époque où les défis sont nombreux : crises climatiques, dépendance alimentaire, instabilité des marchés agricoles, pression démographique, etc. Mais ces défis ne sont pas une fatalité », a-t-il dit.
Le programme agricole va faciliter l’accès des agriculteurs aux financements et aux marchés, en plus d’augmenter leurs capacités de gestion. 600.000 agriculteurs, dont 240 000 femmes, vont en bénéficier.
