Afrique. La Chine inaugure sa Chambre de commerce dans le continent
La Chambre de commerce chinoise en Afrique (CCCA) a été officiellement inaugurée à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne.
Lilia Habboul
Le chef de la mission diplomatique chinoise auprès de l'Union africaine (UA) Hu Changchun, lors de l'inauguration de la Chambre de commerce chinoise en Afrique (CCCA) à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne.
Son objectif est de favoriser une coopération sino-africaine plus large et de contribuer à la construction d'une communauté de destin sino-africaine plus étroite.
Composée de 15 membres fondateurs, la CCCA couvre un large éventail de secteurs, dont notamment l'agriculture, la construction, l'industrie manufacturière, les télécommunications, l'énergie et la santé. Avec une augmentation prévue du nombre de ses membres dans les secteurs traditionnels et émergents, la chambre aspire à renforcer les liens économiques et à faciliter la coopération économique sino-africaine.
Le chef de la mission diplomatique chinoise auprès de l'Union africaine (UA) Hu Changchun a déclaré lors de la cérémonie d'inauguration que cette nouvelle chambre, sous la supervision de sa mission, servirait de passerelle pour promouvoir un développement partagé entre la Chine, l'Afrique et les pays du Sud global.
«La création de cette chambre permettra de développer de meilleures synergies au service de la coopération économique sino-africaine, et aidera notre amitié à se renforcer. J'espère sincèrement que la chambre accueillera davantage de membres, travaillera avec toutes les parties prenantes et contribuera au renforcement de la coopération économique et commerciale entre la Chine et l'Afrique », a affirmé Hu.
Moussa Mohamed Omar, directeur de cabinet adjoint de la Commission de l'UA, a déclaré pour sa part, déclaré, que la création de cette chambre de commerce dans le cadre du partenariat stratégique sino-africain était le symbole d'une coopération mutuellement profitable, fondée sur le respect mutuel et les résultats concrets.
Notant que les entreprises chinoises étaient activement impliquées dans divers secteurs de développement en Afrique, dont notamment ceux des infrastructures, de l'énergie, des infrastructures numériques et de la logistique, M. Omar a indiqué que ces entreprises contribuaient de manière significative au développement et à la création d'emplois en Afrique.
Composée de 15 membres fondateurs, la CCCA couvre un large éventail de secteurs, dont notamment l'agriculture, la construction, l'industrie manufacturière, les télécommunications, l'énergie et la santé. Avec une augmentation prévue du nombre de ses membres dans les secteurs traditionnels et émergents, la chambre aspire à renforcer les liens économiques et à faciliter la coopération économique sino-africaine.
Le chef de la mission diplomatique chinoise auprès de l'Union africaine (UA) Hu Changchun a déclaré lors de la cérémonie d'inauguration que cette nouvelle chambre, sous la supervision de sa mission, servirait de passerelle pour promouvoir un développement partagé entre la Chine, l'Afrique et les pays du Sud global.
«La création de cette chambre permettra de développer de meilleures synergies au service de la coopération économique sino-africaine, et aidera notre amitié à se renforcer. J'espère sincèrement que la chambre accueillera davantage de membres, travaillera avec toutes les parties prenantes et contribuera au renforcement de la coopération économique et commerciale entre la Chine et l'Afrique », a affirmé Hu.
Moussa Mohamed Omar, directeur de cabinet adjoint de la Commission de l'UA, a déclaré pour sa part, déclaré, que la création de cette chambre de commerce dans le cadre du partenariat stratégique sino-africain était le symbole d'une coopération mutuellement profitable, fondée sur le respect mutuel et les résultats concrets.
Notant que les entreprises chinoises étaient activement impliquées dans divers secteurs de développement en Afrique, dont notamment ceux des infrastructures, de l'énergie, des infrastructures numériques et de la logistique, M. Omar a indiqué que ces entreprises contribuaient de manière significative au développement et à la création d'emplois en Afrique.
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