Investissements étrangers. Un premier trimestre sous le signe de la croissance
Le flux net des IDE au Maroc a bondi de 63,6 % au T1-2025, atteignant 9,16 MMDH. En parallèle, les investissements marocains à l’étranger ont chuté de près de 60 %.
Mounia Kabiri Kettani
Le flux net des investissements directs étrangers (IDE) a atteint près de 9,16 milliards de dirhams au premier trimestre 2025.
Les investisseurs étrangers reviennent en force au Maroc. Le flux net des investissements directs étrangers (IDE) a atteint près de 9,16 milliards de dirhams au premier trimestre 2025, avec une hausse de 63,6 % par rapport à la même période en 2024, selon les derniers chiffres publiés par l’Office des Changes.
Cette croissance s’explique par une double dynamique favorable : d’un côté, les recettes d’IDE, c’est-à-dire les montants injectés dans l’économie marocaine, ont bondi de 24,6 % pour dépasser 12,9 milliards de dirhams. De l’autre, les décaissements – ou retraits – opérés par les investisseurs étrangers ont reculé de 20,8 % à 3,81 milliards de dirhams.
À l’inverse, les IDE marocains à l’étranger s’essoufflent. Le flux net des investissements directs marocains à l’étranger (IDME) a chuté de près de 60 %, pour s’établir à seulement 388 millions de dirhams. Un repli qui s’explique par la baisse simultanée des recettes (-14,8 %, à 3,87 MMDH) et des dépenses (-22,6 %, à 4,26 MMDH), traduisant une prudence croissante des opérateurs marocains vis-à-vis des marchés extérieurs.
Cette croissance s’explique par une double dynamique favorable : d’un côté, les recettes d’IDE, c’est-à-dire les montants injectés dans l’économie marocaine, ont bondi de 24,6 % pour dépasser 12,9 milliards de dirhams. De l’autre, les décaissements – ou retraits – opérés par les investisseurs étrangers ont reculé de 20,8 % à 3,81 milliards de dirhams.
À l’inverse, les IDE marocains à l’étranger s’essoufflent. Le flux net des investissements directs marocains à l’étranger (IDME) a chuté de près de 60 %, pour s’établir à seulement 388 millions de dirhams. Un repli qui s’explique par la baisse simultanée des recettes (-14,8 %, à 3,87 MMDH) et des dépenses (-22,6 %, à 4,26 MMDH), traduisant une prudence croissante des opérateurs marocains vis-à-vis des marchés extérieurs.