Sahara marocain : Le Président Paul Kagame déjoue une vile manœuvre du régime algérien
La propagande algérienne a, une fois de plus, tenté de déformer la réalité en attribuant au président rwandais Paul Kagame une supposée prise de position en faveur du polisario, à l’issue de sa visite à Alger le 3 juin 2025. Or, il n’en est rien.
Le discours prononcé par le chef d’État rwandais, publié dans son intégralité sur son site officiel, ne contient aucune allusion aux séparatistes du polisario. Ce nouveau désaveu enfonce davantage le régime algérien dans le discrédit qui fait depuis longtemps sa réputation.
Dans un geste diplomatique clair et fort, le président Kagame a tenu à publier lui-même la version complète de son intervention, mettant ainsi en échec toute tentative de manipulation. Cette initiative n’est pas anodine. Elle témoigne d’une prise de conscience africaine croissante face aux pratiques récurrentes d’instrumentalisation médiatique dans la région. Surtout, elle confirme la constance de la position de Kigali sur ce dossier.
Au-delà de cette séquence, l’attitude du président rwandais s’inscrit dans un contexte international en profonde mutation. Sous l’impulsion directe de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, une dynamique diplomatique globale en faveur du Sahara marocain s’est imposée au fil des années.
Outre la reconnaissance par de grandes puissances comme les États-Unis et la France de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, en Afrique, plusieurs pays ont déjà ouvert des consulats à Laâyoune et Dakhla, affirmant concrètement leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc. Cette dynamique s’est aussi étendue à des régions où la position marocaine rencontrait jadis de fortes résistances : en Europe du Nord, où des voix officielles plaident désormais pour une solution réaliste et durable fondée sur l’initiative marocaine d’autonomie, mais aussi en Amérique latine, où des pays comme le Paraguay ou le Chili ont récemment pris des positions bienveillantes à l’égard de Rabat.
Ces évolutions traduisent l’efficacité de la stratégie Royale, fondée sur la clarté, la constance et la légitimité historique et juridique du Maroc sur ses provinces du Sud.
En privilégiant le dialogue, l’investissement et le co-développement, le Royaume a su construire des partenariats solides et crédibles, loin des postures idéologiques et des schémas hérités de la guerre froide.
La position du président Kagame illustre, à sa manière, cette nouvelle donne. En évitant tout amalgame, il confirme que le soutien aveugle aux séparatistes n’est plus de mise.
Le Maroc récolte ainsi les fruits d’un patient travail diplomatique, porté au plus haut niveau de l’État. Face aux tentatives de brouiller les messages et d’induire en erreur l’opinion publique internationale, la transparence, la cohérence et la fermeté restent les meilleures armes. Et c’est précisément ce que le Royaume, à travers l’action de son Souverain, continue de démontrer avec force et sérénité.
