OMPIC. L’artisanat marocain sous protection
À Benguerir, une convention a été conclue pour soutenir les artisans marocains dans la valorisation et la protection de leurs droits de propriété industrielle et commerciale.
Mounia Kabiri Kettani
Une convention pour mieux protéger les artisans marocains.
A l’occasion du forum national de l’économie sociale et solidaire, organisé à l’UM6P de Benguerir, l’OMPIC, le ministère de l’Industrie et du Commerce, le Secrétariat d’État chargé de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire et la Maison de l’Artisan ont conclu une convention de partenariat pour soutenir le secteur de l'artisanat. Objectif : doter les artisans d’outils juridiques et financiers pour valoriser et sécuriser leurs produits, marques et savoir-faire.
Une réponse concrète aux besoins du terrain
Dans un contexte où les créations artisanales sont de plus en plus exposées aux risques de contrefaçon et d’appropriation illégale, la dite convention apporte une réponse concrète. Elle repose sur deux piliers essentiels : le soutien financier, d’une part, et l’accompagnement technique, d’autre part.
Concrètement, les artisans bénéficieront d’une prise en charge à hauteur de 50 % des frais liés au dépôt de marques, dessins ou modèles industriels, aussi bien sur le plan national qu’international. Un soulagement pour de nombreux professionnels dont les revenus modestes freinent l’accès à ces démarches juridiques pourtant cruciales.
Sensibiliser, former, accompagner
Au-delà de l’aide financière, le texte prévoit un ensemble de mesures pour renforcer les capacités des artisans. Des formations, des campagnes de sensibilisation et des actions d’assistance technique seront déployées pour leur permettre de mieux comprendre les mécanismes de protection offerts par la propriété industrielle et commerciale, et d’en tirer profit dans une logique de développement durable et inclusif.
L’OMPIC souligne que cette convention s’inscrit dans une vision plus large : faire de la propriété industrielle un véritable moteur d’inclusion, de compétitivité et de développement économique.
Pour les artisans marocains, souvent éloignés des circuits classiques de l’innovation, cette initiative ouvre de nouvelles perspectives. Elle leur offre la possibilité de sécuriser leur production, de se démarquer sur les marchés et d’augmenter la valeur ajoutée de leurs créations.
Une réponse concrète aux besoins du terrain
Dans un contexte où les créations artisanales sont de plus en plus exposées aux risques de contrefaçon et d’appropriation illégale, la dite convention apporte une réponse concrète. Elle repose sur deux piliers essentiels : le soutien financier, d’une part, et l’accompagnement technique, d’autre part.
Concrètement, les artisans bénéficieront d’une prise en charge à hauteur de 50 % des frais liés au dépôt de marques, dessins ou modèles industriels, aussi bien sur le plan national qu’international. Un soulagement pour de nombreux professionnels dont les revenus modestes freinent l’accès à ces démarches juridiques pourtant cruciales.
Sensibiliser, former, accompagner
Au-delà de l’aide financière, le texte prévoit un ensemble de mesures pour renforcer les capacités des artisans. Des formations, des campagnes de sensibilisation et des actions d’assistance technique seront déployées pour leur permettre de mieux comprendre les mécanismes de protection offerts par la propriété industrielle et commerciale, et d’en tirer profit dans une logique de développement durable et inclusif.
L’OMPIC souligne que cette convention s’inscrit dans une vision plus large : faire de la propriété industrielle un véritable moteur d’inclusion, de compétitivité et de développement économique.
Pour les artisans marocains, souvent éloignés des circuits classiques de l’innovation, cette initiative ouvre de nouvelles perspectives. Elle leur offre la possibilité de sécuriser leur production, de se démarquer sur les marchés et d’augmenter la valeur ajoutée de leurs créations.