Crédit Agricole du Maroc. valide son plan stratégique
Le Conseil de surveillance du Crédit Agricole du Maroc a validé un nouveau plan d’action alliant performance financière et soutien au monde rural. Le plan intègre un appui majeur aux éleveurs via un programme national de reconstitution du cheptel.
Mounia Kabiri Kettani
Le conseil de surveillance du Crédit Agricole du Maroc, présidé par Aziz Akhannouch, a validé un plan stratégique pour un soutien renforcé au monde rural.
Réuni ce mercredi à Rabat sous la présidence du chef du gouvernement Aziz Akhannouch, le conseil de surveillance du Crédit Agricole du Maroc (CAM) s’est penché sur les performances de la banque et a validé son nouveau plan d’action stratégique.
Dès l’ouverture de la séance, le Chef de l’exécutif a tenu à rappeler l’importance du rôle de la banque dans l’accompagnement du monde rural, en droite ligne des Hautes Orientations Royales. Il a particulièrement souligné l’implication du CAM dans le programme national de soutien aux éleveurs et de reconstitution du cheptel, au moment où les agriculteurs font face à des défis climatiques et économiques majeurs.
Un volet essentiel de ce programme concerne l’allègement et le rééchelonnement des dettes des éleveurs, une mesure prioritaire dont la mise en œuvre a déjà été lancée par le gouvernement.
Des performances solides
Le conseil de surveillance a salué la résilience financière du Crédit Agricole du Maroc, avec un Produit Net Bancaire (PNB) de 4,5 milliards de dirhams au 31 décembre 2024. À noter une hausse de 28 % du PNB consolidé et une progression de 32 % du PNB social, signe d’une dynamique bien ancrée dans les fondamentaux de la banque.
Les premiers résultats de 2025 confirment cette trajectoire, alignée avec les ambitions du CAM en matière de performance et d’impact socio-économique.
Un plan stratégique validé
Le conseil a validé un plan d’action pluriannuel destiné à consolider durablement la situation financière de la banque, tout en préservant son rôle d’acteur public au service du développement rural. Ce plan sera encadré par un protocole d’accord tripartite entre l’État, le Crédit Agricole du Maroc et l’Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’État.
Ce mécanisme vise à renforcer la gouvernance, le pilotage de la performance et la viabilité de l’action publique dans le secteur bancaire.
Crise de l’élevage
Autre annonce majeure : le budget de l’État mobilisera plus de 700 millions de dirhams pour financer le programme d’appui aux éleveurs, via des facilités de crédit ciblant près de 50.000 clients du CAM. Ce dispositif devrait apporter une bouffée d’oxygène aux exploitants agricoles durement touchés, tout en maintenant la chaîne de production et d’approvisionnement alimentaire nationale
Dès l’ouverture de la séance, le Chef de l’exécutif a tenu à rappeler l’importance du rôle de la banque dans l’accompagnement du monde rural, en droite ligne des Hautes Orientations Royales. Il a particulièrement souligné l’implication du CAM dans le programme national de soutien aux éleveurs et de reconstitution du cheptel, au moment où les agriculteurs font face à des défis climatiques et économiques majeurs.
Un volet essentiel de ce programme concerne l’allègement et le rééchelonnement des dettes des éleveurs, une mesure prioritaire dont la mise en œuvre a déjà été lancée par le gouvernement.
Des performances solides
Le conseil de surveillance a salué la résilience financière du Crédit Agricole du Maroc, avec un Produit Net Bancaire (PNB) de 4,5 milliards de dirhams au 31 décembre 2024. À noter une hausse de 28 % du PNB consolidé et une progression de 32 % du PNB social, signe d’une dynamique bien ancrée dans les fondamentaux de la banque.
Les premiers résultats de 2025 confirment cette trajectoire, alignée avec les ambitions du CAM en matière de performance et d’impact socio-économique.
Un plan stratégique validé
Le conseil a validé un plan d’action pluriannuel destiné à consolider durablement la situation financière de la banque, tout en préservant son rôle d’acteur public au service du développement rural. Ce plan sera encadré par un protocole d’accord tripartite entre l’État, le Crédit Agricole du Maroc et l’Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’État.
Ce mécanisme vise à renforcer la gouvernance, le pilotage de la performance et la viabilité de l’action publique dans le secteur bancaire.
Crise de l’élevage
Autre annonce majeure : le budget de l’État mobilisera plus de 700 millions de dirhams pour financer le programme d’appui aux éleveurs, via des facilités de crédit ciblant près de 50.000 clients du CAM. Ce dispositif devrait apporter une bouffée d’oxygène aux exploitants agricoles durement touchés, tout en maintenant la chaîne de production et d’approvisionnement alimentaire nationale