Guinée Bissau. Le FMI confiant quant à la croissance
Le Produit intérieur brut (PIB) de la Guinée-Bissau devrait augmenter de 5,1% en 2025, a annoncé mardi le Fonds monétaire international (FMI).
Lilia Habboul
Outre cette croissance économique, la Guinée-Bissau devrait connaître une inflation modérée, estimée à environ 2%, a ajouté le FMI dans une note.
Ainsi, le FMI a salué l'engagement des autorités bissau-guinéennes à réduire le déficit budgétaire du pays, soulignant que les données attendues sont le reflet d'un espoir de reprise économique, portée par des secteurs comme l'agriculture, notamment la production de noix de cajou, et les investissements dans les infrastructures.
« Les autorités de la Guinée-Bissau sont déterminées à atteindre un déficit budgétaire de 3,4% du PIB en 2025, afin de mettre la dette publique sur une trajectoire fermement descendante », a, pour sa part, indiqué le ministère des Finances.
Les perspectives restent « soumises à des risques internes et externes significatifs », et bien que l'impact direct des récentes tensions commerciales internationales sur la Guinée-Bissau « soit limité, l'économie continue de se détériorer dans un climat sociopolitique difficile, en cette année électorale », a-t-il toutefois souligné.
Ainsi, le FMI a salué l'engagement des autorités bissau-guinéennes à réduire le déficit budgétaire du pays, soulignant que les données attendues sont le reflet d'un espoir de reprise économique, portée par des secteurs comme l'agriculture, notamment la production de noix de cajou, et les investissements dans les infrastructures.
« Les autorités de la Guinée-Bissau sont déterminées à atteindre un déficit budgétaire de 3,4% du PIB en 2025, afin de mettre la dette publique sur une trajectoire fermement descendante », a, pour sa part, indiqué le ministère des Finances.
Les perspectives restent « soumises à des risques internes et externes significatifs », et bien que l'impact direct des récentes tensions commerciales internationales sur la Guinée-Bissau « soit limité, l'économie continue de se détériorer dans un climat sociopolitique difficile, en cette année électorale », a-t-il toutefois souligné.
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