Abu Wael Al-Rifi tire à boulets rouges sur des démagogues, des droit-de-l'hommistes mercantilistes, Amnesty...
L'observateur
Les confidences du dimanche deviennent un rendez-vous régulier où le très suivi Abu Wael Al-Rifi donne une volée de bois vert à des des "donneurs de leçons" dont "le verbe, à l'écrit ou à l'oral, est leur seul fond de commerce".
Les longues chroniques de Abu Wael Al-Rifi se lient entre les lignes. Celle de ce dimanche est riches en piques qui feront mal aux nombreux "démagogues". Tel que les décrit le chroniqueur au verbe acéré, ils sont pour certains "de faux éminents spécialistes de question de haute géostratégie" dont un "spécialiste évocateur des morts", pour d'autres des "défenseurs des de l'homme qui ne défendent que leur poche" ou encore de "médiocres plumitifs".
S'arrêtant longuement sur chacune de ces catégories, Abu Wael Al-Rifi réserve une bonne partie de sa chronique aux "barons des vins" qui "ne méritent même pas cette qualification", tellement ils sont dans le commerce des mauvais vins, voire des faux.
A ces derniers, et aux autres, le chronique assurer que la campagne "Mains propres" se poursuivra et n'a nulle autre devise que "personne n'est au-dessus de la loi".
Comme le dimanche passé, Abu Wael Al-Rifi montre les bandes de "haribane" et de "charibane" sous leur vrai visage.
Ces surnoms et les nombreuses allusions pourraient être vite décodées par les connaisseurs des gros dossiers...
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