La meilleure réponse à Zakaria Moumni est de l’ignorer. Sauf que le silence face à ses divagations semble lui donner l’impression d’exister. C’est donc utile de (lui) rappeler son cas...désespéré.
A chacune de ses sorties virtuelles, parce qu’il ne se donne un semblant d’existence que dans le monde virtuel, Zakaria Moumni, que d’aucuns surnomment « Zakaria Lmfouti » (Zakaria le déglingué) montre l’étendue de son désespoir. Il voit bien qu’il a beau aboyer, la caravane avance sans que personne ne daigne ni lui répondre, ni même l’écouter ou tourner le regard vers lui. Il enrage parce qu’il semble ne pas avoir compris qu’il n’y a pas de place aux maîtres chanteurs comme lui dans le Maroc de Mohammed VI.
Certaines de ses proches connaissances confient qu’il a complètement perdu les pédales. Ils assurent que, lâchés tel qu’il est, il finira par déverser lâchement son venin sur ce qui reste de ses « sponsors », avant de mordre sa propre queue. D’ailleurs, il commence déjà à le faire. Lamentable !