Confessions dominicales. L’embarrassante affaire Brahim Ghali pour l’Espagne, le danger des variants et du populisme...
Dans ses confessions dominicales de ce dimanche, Abu Wael Al-Rifi s’arrête sur le scandale Brahim Ghali duquel l’Espagne peine à s’extirper. Il met aussi en évidence la situation dangereuse qui prévaut dans le monde à cause notamment du variant indien et met le PJD face à ses graves contradictions.

Abu Wael Al-Rifi confirme que l'état de santé du chef des séparatistes du Polisario, Brahim Ghali continue de se dégrader, une semaine après son admission aux soins intensifs dans un hôpital espagnol. L’auteur des confessions dominicales estime que cette situation aggrave la crise du Polisario, qui souffre depuis un certain temps d'une crise de leadership et d'une multiplicité de centres de décision, comme en témoignent les déclarations allant dans tous les sens concernant l’hospitalisation de Brahim Ghali.
L'analyste rappelle que la décision de l'Espagne d’autoriser l'entrée du chef du Polisario sur son sol avec une identité d'emprunt et un passeport diplomatique algérien a mis ce pays dans une position peu enviable, et a mis la justice espagnole à l’épreuve car ses juridictions ne peuvent occulter indéfiniment les nombreuses plaintes déposées contre Brahim Ghali. Ce dernier rappelle l’analyse, était d’ailleurs recherché par la justice espagnole.
Après avoir rappelé les chiffres effrayants enregistrés dans certains pays, Abu Wael confirme que le risque persiste et insiste pour que la prudence et la vigilance restent de mise. Sauf que les chiffres présentés par le ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur lors d’une récente séance hebdomadaire de questions orales à la Chambre des représentants prouvent le contraire, regrette l’auteur. Il rappelle que Noureddine Boutayeb avait révélé que pendant la période allant du 25 juillet 2020 au 22 avril 2021, plus d'un million et demi de personnes, soit une moyenne de plus de 5700 personnes par jour, ont été verbalisés en raison de la violation de l'état d'urgence sanitaire. Le commentaire de l’analyste est que ces chiffres sont alarmants.
Pour conclure, Abu Wael exhorte partis et citoyens à préserver le pays des dérives qui pourraient attenter à sa marche sereine vers le progrès.
L'analyste rappelle que la décision de l'Espagne d’autoriser l'entrée du chef du Polisario sur son sol avec une identité d'emprunt et un passeport diplomatique algérien a mis ce pays dans une position peu enviable, et a mis la justice espagnole à l’épreuve car ses juridictions ne peuvent occulter indéfiniment les nombreuses plaintes déposées contre Brahim Ghali. Ce dernier rappelle l’analyse, était d’ailleurs recherché par la justice espagnole.
Revenant aux affaires intérieures, l’auteur des confessions dominicales souligne que le Maroc poursuit la campagne de vaccination de sa population après l'arrivée de nouveaux lots du vaccin chinois et les lots d’AstraZeneca qui vont suivre, en attente le vaccin russe. Cependant, prévient l’analyste, la poursuite de la campagne de vaccination ne signifie pas que le Maroc a dépassé le stade du danger, surtout après la détection dans le pays de cas de contamination par des variants. Abu Wael met en garde contre le danger que représente la souche indienne mortelle de Corona ayant été détectée dans plus de 17 pays jusqu'à présent. Il en conclut qu’il devient désormais difficile pour le Royaume d’aller vers des mesures d’assouplissement des restrictions appliquées actuellement.Abu Wael affirme que l'Espagne parie aujourd'hui sur la mort de Brahim Ghali pour sortir de l’embarras.
Après avoir rappelé les chiffres effrayants enregistrés dans certains pays, Abu Wael confirme que le risque persiste et insiste pour que la prudence et la vigilance restent de mise. Sauf que les chiffres présentés par le ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur lors d’une récente séance hebdomadaire de questions orales à la Chambre des représentants prouvent le contraire, regrette l’auteur. Il rappelle que Noureddine Boutayeb avait révélé que pendant la période allant du 25 juillet 2020 au 22 avril 2021, plus d'un million et demi de personnes, soit une moyenne de plus de 5700 personnes par jour, ont été verbalisés en raison de la violation de l'état d'urgence sanitaire. Le commentaire de l’analyste est que ces chiffres sont alarmants.
Dans ce sens, l’auteur des confessions dominicales s'étonne de la teneur du communiqué publié récemment par l’antenne de Rabat du PJD appelant les membres de ce parti à une manifestation massive devant le parlement en faveur de la Palestine. Ce comportement, analyse Abu Wael, et d’autant plus étonnant qu’il émane du parti dirigeant la majorité gouvernementale. Pire, poursuit-il, le PJD n’a pas reconnu son erreur même après le rappel à l’ordre qui a été formulé par les autorités locales. Cette attitude n’a d'égale, estime l’analyse, que l’obstination dont a fait preuve ce même parti pour que le « frère Abdelali Hamieddine » ne se présente pas devant la justice après sa convocation dans une grave affaire le concernant.Abu Wael déplore l’immobilisme des partis politiques, «dont les seules préoccupations du moment sont les prochaines échéances électorales».
Pour conclure, Abu Wael exhorte partis et citoyens à préserver le pays des dérives qui pourraient attenter à sa marche sereine vers le progrès.