Scandale. La série algérienne « Boussendouk » retirée des ondes pour plagiat de deux séries marocaines
Quelques jours à peine après sa diffusion, la chaîne algérienne Al Fadjer TV suspend la la série ramadanesque « Boussendouk » plagiée de deux séries culte marocaines « Hdidane » et « Remana et Bertal », selon le site d’information Al Yaoum 24.
Kawtar Firdaous
Boussendouk copié sur Hdidane
Hdidane palgié par Boussendouk
A peine diffusée sur les ondes algériennes que le public marocain crie au plagiat. L’histoire de la série « Boussenedouk » diffusée sur la chaine Al Fadjer ressemble comme deux gouttes d’eau à la série marocaine à succès « Hdidane » réalisée par Fatima Boubakdi. Et ce n’est pas tout, la série a également volé la musique d’une autre série culte marocaine « Remmana we Bertal », s’attirant la foudre des internautes marocains.
Après le tollé provoqué sur les réseaux sociaux, la chaîne de télévision algérienne s’est empressée de présenter dans un communiqué officiel des excuses au public marocain avant de supprimer par la suite sa publication.
Indignés par ce plagiat, les internautes marocains ont dénoncé sur la toile les similitudes entre la série « Boussendouk » et les deux séries marocaines et ont partagé en masse la bande-annonce mettant en vedette l’artiste Kamal Kadimi.
Les internautes étaient même scandalisés de constater que le plagiat de « Hdidan » concernait aussi les vêtements, les décors, les personnages et même les dialogues et l’accent.
Après le tollé provoqué sur les réseaux sociaux, la chaîne de télévision algérienne s’est empressée de présenter dans un communiqué officiel des excuses au public marocain avant de supprimer par la suite sa publication.
La série Boussendouk
Indignés par ce plagiat, les internautes marocains ont dénoncé sur la toile les similitudes entre la série « Boussendouk » et les deux séries marocaines et ont partagé en masse la bande-annonce mettant en vedette l’artiste Kamal Kadimi.
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Les internautes étaient même scandalisés de constater que le plagiat de « Hdidan » concernait aussi les vêtements, les décors, les personnages et même les dialogues et l’accent.