Après avoir arrêté dans un premier temps les essais sur l'hydroxychloroquine, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) les a repris début juin. Elle vient encore de les arrêter.
L'OMS devient l'Organisation Mondiale des Suppositions, tant ses décisions changent d'un jour à l'autre. Sur l'hydroxychloroquine, Dr Tedros et l'armée de fo actionnaires qu'il gère montrent leurs hésitations. Se basant sur l'étude, très contestée du "Lancet", ils avaient décidé de suspendre les essais sur ce médicament, avant de sa raviser, sous les critiques de nombreux scientifiques à travers le monde. Et voilà qu'ils ont encore décidé de suspendre les mêmes essais.
Cette annonce survient deux jours après que les autorités sanitaires américaines ont retiré l'autorisation d'utiliser dans l'urgence deux traitements antipaludéens contre le Covid-19, la chloroquine et l'hydroxychloroquine, défendus par le président Donald Trump.
Les arguments de l'OMS ont été présentés par l'une de ses fonctionnaire Dr. Ana Maria Henao Restrepo au cours d'une conférence de presse virtuelle à Genève :"Les preuves internes apportées par l'Essai Solidarity/Discovery, les preuves externes apportées par l'Essai Recovery et les preuves combinées apportées par ces deux essais largement aléatoires, mises ensemble, suggèrent que l'hydroxychloroquine - lorsqu'on la compare avec les traitements habituels des patients hospitalisés pour le Covid-19- n'a pas pour résultat la réduction de la mortalité de ces patients". Et la fonctionnaire de conclure : "Sur la base de ces analyses et de l'étude des preuves produites (...), après délibérations, il a été conclu que l'arme de l'hydroxychloroquine sera retirée de l'Essai Solidarité".
Toutefois, Ana Maria Henao Restrepo a souligné que la décision d'arrêter les essais sur les patients hospitalisés souffrant du Covid-19 ne concernait pas l'usage ou l'évaluation de cette molécule en tant que traitement préventif de la maladie due au nouveau coronavirus.
Comprendra qui pourra !
