«Les pays qui ont investi dans la recherche de cas, les soins, l’isolement, les enquêtes sur les clusters, le dépistage adéquat avec des résultats rapides, la recherche de contacts et la mise en quarantaine sont confrontés à beaucoup moins de perturbations».
Ce constat du directeur général de l’OMS laisse perplexe.
Les pays qui ont fait tout ça sont justement ceux qui sont les plus touchés selon les statistiques officielles. Et leurs économies en dépriment.
Tedros Adhanom Ghebreyesus est déterminé à saper toute lueur d’espoir. Même quand des vaccins sont déclarés efficaces, il trouve le moyen de faire paniquer les humains. Selon lui, « un vaccin va compléter les autres outils que nous avons, pas les remplacer ».
Autrement dit, l’arrivée d’un vaccin n’est pas la fin des souffrances. Bien sûr, il ne parle jamais des guérisons qui atteignent des pourcentages très élevés. Des 54.678.159 cas enregistrés dans le monde, il y’a eu quand même 35.098.656 guérisons. Ce n'est pas rien.
Il nous faudra bientôt inventer l’Organisation mondiale de la santé mentale.