En 2017, nous avions à peine 4,06 millions de véhicules et ce chiffre est en hausse de 18% par rapport à 2014. C’est une actualisation rendue publique par le ministère du Transport. Pourquoi s’arrête-t-elle à 2017 alors que nous sommes en 2019 ? C’est peut-être la vitesse de transmission des données. On les envoie à dos d’âne au ministère. Et l’âne a besoin de manger en route.