Maroc-Grande Bretagne. Une autre déception des séparatistes
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Il est temps que les ennemis du Maroc se rendent à l’évidence. Pour attaquer le pays devant la justice internationale, il vaut mieux avoir des arguments solides. On ne s’adresse pas aux juges comme on s’adresse à des followers sur les réseaux sociaux. C’est un autre niveau. Ce qui peut réussir sur Facebook n’est pas nécessairement une performance. Ce qui est arrivé au Polisario est emblématique à cet égard.

La Cour d'appel de Londres a rejeté l'action de l’ONG pro-polisario WSC contre l'accord commercial entre le Maroc et le Royaume-Uni. C’est définitif et l’ONG devrait réfléchir aux moyens de rembourser son commanditaire et le commanditaire de son commanditaire. Puisque c’est l’Algérie qui finance.

Ce n’est pas une mince affaire. C’est une grande victoire pour le Maroc qui s’en tient à la légalité. Il ne fait pas un pas sans étudier le terrain et sans connaître à l’avance les démarches suivantes. 

Le jugement de la Cour d’Appel de Londres ne se limite pas aux relations maroco-britannique, il fait jurisprudence. 

C’est une « victoire pour les entreprises marocaines et britanniques qui continueront à commercer sereinement et à tirer plein profit de cet accord illustrant les relations d'amitié entre les deux pays », se réjouit la Confédération Générale des Entreprises du Maroc. Et pour tout dire, la CGEM a raison puisque désormais "le commerce entre le Maroc et le Royaume-Uni est ainsi définitivement protégé », explique-t-elle. 

L’ONG qui défend les séparatistes du Polisario qui a été déjà déboutée en 2022 et espérait qu’un Appel résoudrait ses ennuis. Pas de chance, la  justice britannique n’est pas influençable et sa décision ne peut plus faire l'objet d'un recours. 

Par conséquent, rien ne peut plus menacer les flux commerciaux entre le Royaume-Uni et le Maroc, qui se sont bien développés. La quatrième trimestre de 2022 était en hausse de 50% par rapport à la même période de 2021. 

Le Polisario et l’Algérie ont toujours joué sur la thématique du pillage des ressources des provinces du Sud par la Maroc. Déjà, ce que le Maroc investit dans ces régions dépassent de très loin ce qu’il en retire. Après on pourra comparer les villes du Sahara marocain avec les villes du Sahara algérien riches en hydrocarbures et qui ne voient pas la couleur de leur richesse. 

Maintenant on peut aller surfer tranquilles à Dakhla. 

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