L’objectif est d’accroître la part du secteur de la pêche et de l’aquaculture dans la sécurité alimentaire et les économies locales.

D’un coût d’environ 24,6 milliards de FCFA, ce projet va promouvoir, au cours des cinq prochaines années, une pisciculture compétitive et résiliente au climat avec comme fer de lance la mise en place des cages flottantes et villages aquacoles sur de grandes superficies.

Des chaînes de valeur commerciales, attractives seront bâties et soutenues pour écouler la production, ainsi que des appuis en vue d’améliorer la gouvernance des pêcheries continentales et maritimes.

Le projet appuiera notamment les entreprises aquacoles opérationnelles (centres d’alevinage, fermes aquacoles, fabriques d’aliments) pour moderniser leurs outils et accroître les capacités de production.

Il permettra de produire annuellement 65 millions d’alevins (40 millions de tilapia, 20 millions de clarias et 5 millions d’autres espèces) et 30 000 tonnes d’aliments, peut-on lire sur le site de la Banque africaine de développement.