Confession dominicale. Les grandes avancées du Royaume désarçonnent certains imposteurs  

«Baouh Al Ahad» (Confession dominicale», publiée ce dimanche, montre comment les grandes avancées notamment diplomatiques réalisées par le Maroc mettent à nu certains imposteurs. Extraits.

Les sorties publiques orchestrées par certains membres dirigeants d’Al Adl Wal Ihsane (Justice et Bienfaisance), commentant les dernières Grâce Royale au moment où celles-ci sont unanimement saluées aux niveaux national et international ne sont rien d’autre qu’une tentative désespérée de leurs auteurs de sortir de l’oubli. Ces commentaires dévoilent les «racines chiites» de cette organisation, dissimulant ses véritables intentions sous un vernis de légitimité religieuse et sociale.En tentant de discréditer un geste royal, louable et volontariste, l'organisation montre encore une fois son incapacité à engager un vrai débat constructif.Les critiques fallacieuses émises ont révélé les dessous de la stratégie ourdie à la tête de «Justice et Bienfaisance», avec des sorties synchronisées et délibérément malveillantes. Cette synchronisation soulève des questions sur la prétendue indépendance de cette organisation, met en lumière ses contradictions internes et prouve son incapacité à s’adapter aux mutations que connaît le pays.Parallèlement, certains imposteurs s’imprègnent de ce même esprit et continuent de minimiser, voire de feindre d’ignorer les fulgurants succès diplomatiques du Royaume. Ces voix, discordantes et inaudibles, enragent en voyant la France inclure dans ses manuels scolaires sa position inédite en faveur de la marocanité du Sahara... Ne cherchant qu’à faire diversion en versant dans une flagrante superficialité ces voix isolées sont souvent motivées par des ressentiments personnels ou des ambitions déçues.Les succès du Maroc dont fait partie la reconnaissance par des puissances mondiales de la souveraineté du royaume sur son Sahara ne trouvent pas grâce à leurs yeux. Ils feignent de ne pas voir l’insuccès continu des ennemis du Maroc qu’illustre, par exemple, la récente mascarade perpétrée, vainement, par le régime algérien lors de la réunion préparatoire du sommet TICAD IX au Japon. Ils s’obstinent donc à alimenter une rhétorique négative qui ne reflète ni les réalités du terrain ni les aspirations de la majorité des Marocains. Or, ces imposteurs manquent de la légitimité nécessaire pour mener le moindre débat public éclairé.Le décalage entre les quelques prétendus critiques et les faits sur le terrain est frappant. Alors que le Maroc continue de renforcer sa position diplomatique sur la scène internationale, notamment avec le soutien croissant à son plan d'autonomie pour son Sahara, ces imposteurs versent dans la désinformation et la diffamation puisque leur parti pris les empêche d’aller vers une quelconque analyse objective.