Confessions dominicales : Succès du Maroc, provocations allemandes et situation en Algérie

 

Dans ses confessions de ce dimanche 7 mars, Abu Wael Al-Rifi revient sur certaines décisions royales décisives ayant permis au royaume, au cours de la dernière décennie, d’enchaîner les avancées à l’intérieur du pays, comme dans ses relations continentales et internationales. Il montre  aussi, comment, pendant ce temps, l'Algérie ne cesse de régresser...

Dans la continuité de ce processus, Abu Wael s’arrête sur la récente reconnaissance du Royaume par l’OMS comme pays leader, figurant dans le top 10 mondial, pour sa bonne gestion de la campagne de vaccination de sa population contre la Covid-19. Revenant aussi sur les récents succès diplomatiques du Maroc, l’analyste donne l’exemple des dernières provocations allemandes comme exemple de l’inadmissible poussée d’urticaire constatée chez certains pays à l’encontre du Royaume.

L’auteur des confessions dominicales souligne que de telles hostilités n’entament en rien la détermination du Maroc à continuer sur sa lancée. Il montre aussi le contraste saisissant qui ressort de la comparaison de l’évolution du Maroc face à l’incessante régression de l’Algérie.

« La dernière sortie médiatique du président algérien Abdelmadjid Tebboune montre le Royaume est assurément le grand complexe des dirigeants algériens, dont la légitimité historique s'est érodée et a expiré », affirme-t-il. Et d’ajouter que Tebboune et le cercle dirigeant sont aujourd’hui désavoués par les millions de contestataires algériens qui leur crient au visage « Dégagez tous ! ».

L’analyste poursuit en s’adressant ainsi au régime algérien :

« Le Maroc n'a pas empêché l'Etat algérien d’utiliser la manne pétrolière au profit de son peuple et de son économie. Le Maroc n'a pas empêché l'Etat algérien de se procurer des vaccins pour immuniser sa population au lieu de tendre la main pour quémander des vaccins de certains pays étrangers. Le Maroc n'a pas empêché l'Algérie de développer son secteur agricole pour nourrir convenablement sa population. Le Maroc n'a pas empêché non plus l'Algérie de développer ses infrastructures et son industrie.

Le complexe du Maroc dont souffrent les dirigeants algériens les pousse à avoir une obsessionnelle fixation sur le Royaume. Quand le Maroc a réussi à ériger Tanger Med comme plus grand port du continent africain et troisième port de la Méditerranée, l'Algérie a voulu construire un grand port pour le concurrencer. Et auparavant, quand Hassan II avait construit la grande mosquée portant son nom à Casablanca, l'Algérie avait décidé à l'époque de Bouteflika d’en faire de même à Alger. Sauf que cette mosquée qui devait porter le nom d'Abdelaziz Bouteflika reste un chantier inachevé. »

 

Pour lire l'intégralité des confessions dominicales

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