Un ancien conseiller à la sécurité à la Maison Blanche salue le professionnalisme de Adellatif Hammouchi
Le Directeur gu00e9nu00e9ral de la DGSN, Abdellatif Hammouchi, donne lui-mu00eame l'exemple en privilu00e9giant le travail de terrain...

 

Commentant un article paru sur les velléités terroristes et pro-Polisario/Algérie de l’Iran dans le magazine américain "The National Interest", l’ancien haut responsable du Conseil de sécurité nationale (SNB) de la Maison Blanche où il était directeur principal pour le Moyen-Orient et l’Afrique, Rob Greenway a salué, à travers ce tweet, les qualités du directeur général de la DGST et de la DGSN, Abdellatif Hammouchi.

 

 

 

Paru dans le magazine américain « The National Interest » appartenat au think tank US « The Center for National Interest », l’article que commente l’ancien haut responsable américain met en exergue l’efficacité des services sécuritaires marocains. Son auteur, le chercheur Emanuele Ottolenghi part de l’arrestation par les services de renseignement nationaux d’un ressortissant libanais de 57 ans, qui se présentait sous le nom d'Ibrahim Youssef à son entrée dans le pays le 6 janvier, avant de multiplier les exemple pour montrer comment le Maroc a pu barrer la route à l’expansionnisme malintentionné iranien à travers notamment des éléments du Hizbollah libanais.

L’auteur montre aussi comment l’Iran tente d’appuyer le banditisme terroriste des miliciens du Polisario. Sur cette base, il invite l'administration Biden à être très attentive à de telles manigances. « Le Maroc est un allié fort des États-Unis et a toujours été une voix modérée au sein de la Ligue arabe en ce qui concerne le conflit israélo-arabe. La récente normalisation du Maroc avec Israël est prometteuse et Washington devrait la promouvoir, dans le cadre d’un effort plus large de consolidation et d’élargissement des accords d’Abraham », écrit-il. Et d’ajouter : « Washington a beaucoup à perdre d'une résurgence du conflit au Sahara occidental, et il ne devrait pas laisser l'Iran envoyer ses pions, tout comme il l"a fait en Syrie il y a dix ans, pour mettre le feu ».

Emanuele Ottolenghi est chercheur principal à la Fondation de défense des démocrétie basée à Washington.