Confessions dominicales. L’Algérie tente de sauver Brahim Ghali de la mort et laisse Covid-19 ravager Tindouf
Abu Wael Al-Rifi consacre une bonne partie de ses confessions de ce dimanche à l’Algérie qui tente de soigner son serviteur Brahim Ghali, abandonne les séquestrés de Tindouf et ouvre grand les portes de la Méditerranée à la Russie...
L’auteur des confessions dominicales révèle que le pseudo chef du Polisario a été atteint par la Covid 19. «C’est pour cela qu’on ne le voit nulle part depuis un certain temps», précise Abou Wael Al-Rifi. Ce dernier révèle également l'affectation par l'Algérie d'une équipe médicale spécialement pour prodiguer tous les soins nécessaires à Brahim Ghali au moment où la pandémie foudroie les camps de la honte à Tindouf.
«Même si ministre de la Santé du Polisario se soit déplacé en urgence pour quémander du secours à la capitale algérienne, le ministre algérien de la Santé ne l’a même pas reçu. Le quémandeur a dû faire intervenir les renseignements algériens pour passer sa requête consistant à demander des formations en vue de savoir comment gérer la pandémie ravageuse», écrit-t-il.
Abu Wael met en exergue le paradoxe que laisse voir les autorités algériennes : «D’une part, une équipe spéciale est dédiée au pseudo chef. De l’autre, on laisse périr les séquestrés à Tindouf».
Il note que malgré sa crise intenable, la première préoccupation des autorités algériennes reste le Maroc et les moyens de le contrer. «D’où la rencontre entre le président algérien et le ministre des Affaires étrangères de Mauritanie tenue sur le projet de construction de la route entre Tindouf et Zouerate de Mauritanie», poursuit-il.
L’auteur des confessions dominicales montre aussi comment l’Algérie tente, aveuglément, de renforcer son alliance avec la Russie. Pays qui profite de la position de faiblesse des autorités algériennes pour avancer ses pions dans la Méditerranée. Zone dont l'Algérie a ouvert grand les portes aux Russes.
"Même si rien ne filtre sur le projet d'implantation d'une base navale russe à Oran, ce projet, dont la préparation a débuté il y a trois mois, n’est plus qu’un secret de Polichinelle."
Par ailleurs, l'analyste revient sur la décision du report de la visite du Premier ministre français en Algérie que le président algérien a prise après avoir été informé que la délégation française ne dépassera pas deux ministres. «Par cette décision, Alger tente en vérité de faire pression sur Paris, notamment après que le parti du président Macron ait décidé de mettre en place une représentation de son parti dans la ville de Dakhla», souligne-t-il.
Regrettant la situation catastrophique que vit actuellement l'Algérie, Abu Wael s’arrête sur ces choquantes images des longues files d'attente de citoyens algériens se battant pour obtenir des produits aussi élémentaires que le lait et le sucre.
L’auteur des confessions dominicales trouve déplorable qu’un pays pétrolier, et donc en principe riche, puisse en arriver là, à cause du gaspillage de ses ressources dans la militarisation à outrance du Polisario.
Abu Wael révèle que le Maroc, et en particulier Cosumar, aurait bien voulu bien apporter son aide aux Algériens en leur fournissant lait et sucre en quantités suffisantes, sauf que les autorités algériennes font tout pour redoubler d’hostilité à l’encontre du Maroc et torpiller la construction maghrébine. «Le peuple algérien les désavoue par ses protestations continues et son appel incessant pour l’instauration de la démocratie dans le pays.», conclut-il.
«Même si ministre de la Santé du Polisario se soit déplacé en urgence pour quémander du secours à la capitale algérienne, le ministre algérien de la Santé ne l’a même pas reçu. Le quémandeur a dû faire intervenir les renseignements algériens pour passer sa requête consistant à demander des formations en vue de savoir comment gérer la pandémie ravageuse», écrit-t-il.
Abu Wael met en exergue le paradoxe que laisse voir les autorités algériennes : «D’une part, une équipe spéciale est dédiée au pseudo chef. De l’autre, on laisse périr les séquestrés à Tindouf».
Il note que malgré sa crise intenable, la première préoccupation des autorités algériennes reste le Maroc et les moyens de le contrer. «D’où la rencontre entre le président algérien et le ministre des Affaires étrangères de Mauritanie tenue sur le projet de construction de la route entre Tindouf et Zouerate de Mauritanie», poursuit-il.
L’auteur des confessions dominicales montre aussi comment l’Algérie tente, aveuglément, de renforcer son alliance avec la Russie. Pays qui profite de la position de faiblesse des autorités algériennes pour avancer ses pions dans la Méditerranée. Zone dont l'Algérie a ouvert grand les portes aux Russes.
"Même si rien ne filtre sur le projet d'implantation d'une base navale russe à Oran, ce projet, dont la préparation a débuté il y a trois mois, n’est plus qu’un secret de Polichinelle."
Par ailleurs, l'analyste revient sur la décision du report de la visite du Premier ministre français en Algérie que le président algérien a prise après avoir été informé que la délégation française ne dépassera pas deux ministres. «Par cette décision, Alger tente en vérité de faire pression sur Paris, notamment après que le parti du président Macron ait décidé de mettre en place une représentation de son parti dans la ville de Dakhla», souligne-t-il.
Regrettant la situation catastrophique que vit actuellement l'Algérie, Abu Wael s’arrête sur ces choquantes images des longues files d'attente de citoyens algériens se battant pour obtenir des produits aussi élémentaires que le lait et le sucre.
L’auteur des confessions dominicales trouve déplorable qu’un pays pétrolier, et donc en principe riche, puisse en arriver là, à cause du gaspillage de ses ressources dans la militarisation à outrance du Polisario.
Abu Wael révèle que le Maroc, et en particulier Cosumar, aurait bien voulu bien apporter son aide aux Algériens en leur fournissant lait et sucre en quantités suffisantes, sauf que les autorités algériennes font tout pour redoubler d’hostilité à l’encontre du Maroc et torpiller la construction maghrébine. «Le peuple algérien les désavoue par ses protestations continues et son appel incessant pour l’instauration de la démocratie dans le pays.», conclut-il.