Confessions dominicales. Guerre de succession à Tindouf, nouvelle victoire marocaine, gros scandale chez Amnesty…

Dans ses nouvelles confessions dominicales, Abu Wael Al-Rifi s'arrête sur la guerre de succession qui a d’ores et déjà éclaté à Tindouf, au moment où le chef des séparatistes agonise dans un hôpital espagnol. Il décortique aussi la situation en Tunisie et revient sur le scandale de racisme chez Amnesty...

L’analyste révèle que le chef d'état-major de l'armée algérienne s'est précipité à Tindouf, dimanche dernier, pour constater de visu la détérioration de l'état de santé de Brahim Ghali avant son transfert en urgence vers l’Espagne. Abu Wael rappelle que le malade souffre d'asthme et d’infection des ganglions lymphatiques, aggravés par l’infection par la Covid qui s'est largement répandue parmi les habitants de Tindouf.

Selon des informations obtenues par l’auteur des confessions dominicales, même des membres de la force de la MINURSO à Tindouf ont été contaminés, obligeant cette organisation onusienne à limiter, au strict minimum, les mouvements de ses troupes et à privilégier le travail à distance.

Revenant au déplacement précipité de Chengriha à Tindouf, qui s’était prolongé jusque tard dans la nuit dimanche dernier, Abu Wael considère cet acte comme preuve édifiante de la crainte de l'establishment militaire algérien de l'effondrement définitif du front séparatiste à un moment où l'Algérie compte encore sur ses miliciens dans sa stratégie de ciblage du Maroc en marge de la session du Conseil de sécurité sur le Sahara.

L'analyste montre que l'Algérie a essuyé, à cette occasion, un nouveau cuisant échec au vu du maintien de l'Administration Biden de la reconnaissance officielle américaine de la souveraineté du Maroc sur l'ensemble de son territoire national. Les responsables américains œuvrent maintenant pour l’activation de la nomination d'un nouvel Envoyé auprès du Secrétaire général des Nations Unies au Sahara et le retour des parties aux négociations devant aboutir à une solution définitive qui respecte l’intégrité territoriale du Maroc.

Le chroniqueur révèle que, dans la foulée, l'Algérie a promis aux séparatistes de leur octroyer des drones de fabrication iranienne mais que cela ne servira à rien face à la vigilance des Forces armées royales.

Non loin de l’Algérie, Abu Wael fait un détour vers la Tunisie où la guerre entre les institutions fait rage, aggravant ainsi la situation socio-économique dans ce pays. Au vu de ce qu’il se passe en terre tunisienne et ailleurs, l’analyste met en exergue la force et la constance du système monarchique marocain et rappelle le rôle arbitral primordial que joue la monarchie pour la préservation de la stabilité du pays.

Sur un autre sujet, le chroniqueur rappelle que le Maroc avait fait preuve de fermeté il y a quelque temps face aux accusations fallacieuses portées à son encontre par Amnesty International. Le Royaume avait prévenu que cette organisation n’est rien d’autre qu’«un outil d'influence et de pression géostratégiques». L’auteur des confessions dominicales montre comment les faits donnent aujourd’hui raison au Royaume. S’arrêtant sur les récentes révélations du journal Britannique sur le racisme prévalant au sein d’Amnesty International, Abu Wael montre comment cette organisation censée défendre les droits de l’Homme est en vérité la première à les bafouer.