Développement durable: OCP sensibilise à travers l'Art

Engagé depuis plusieurs années dans une démarche de promotion du développement durable, le Groupe OCP est convaincu du rôle déterminant de l’art dans la sensibilisation des populations. C’est en ce sens, qu’il a choisi de soutenir l’œuvre de l’artiste marocain Mohamed El baz, Door Of Heaven, qui trône depuis le début de la COP22, et jusqu’au 30 avril 2017, sur le parvis de la gare ferroviaire de Marrakech.

Composée de 21 panneaux photovoltaïques, évoquant les silhouettes d’arbres solaires, l’installation imposante appelle à revoir nos modes de vie et nos rapports coupables à la planète. Elle invite à prendre conscience de ce que notre responsabilité et ambitionne d’impliquer les spectateurs dans les changements climatiques à l’oeuvre, de manière à responsabiliser ces derniers, à les inciter à une réelle reprise en main et à valoriser les comportements qui préservent l’environnement.

Conçu comme un hommage à la Terre, chaque panneau solaire cristallin de l’oeuvre est fabriqué à partir d’un sable fondu puis refroidi avant sa cristallisation. Découpée, traitée et assemblée sous une plaque de verre, le panneau photovoltaïque convertit des photons (particule de lumière) en électrons (particule d’électricité). Cette énergie est collectée et redirigé vers des batteries recyclables par le biais de régulateurs.

La production d’électricité permet d’illuminer l’oeuvre tout au long de la nuit, grâce à une horloge astronomique qui calcule, jour après jour, les heures de lever et de coucher du soleil. Cette horloge commande ainsi l’allumage des panneaux dans le respect de la décharge de la batterie.

Au-delà de la portée humaniste de l’œuvre et de sa composition artistique, la structure et le fonctionnement de l’œuvre sont eco-durables. Et c’est ce qui en fait une œuvre monumentale et une première artistique au Maroc. Elle est connectée et agit en interaction avec les techniques de communication contemporaine , chacun peut grâce à son smartphone recevoir, par les QR codes installés, des informations complémentaires et entrer dans le site internet dédié à l’œuvre. Chacun peut par cette appropriation digitale construire ou reconstruire son propre monde.