Algerie

La descente aux enfers

L’Algérie vient de boucler son processus «très démocratique» avec les élections des conseils communaux et des wilayas. Comme pour les présidentielles, les législatives et le référendum, le taux de participation, bien qu’intensément dopé est resté très faible. Cela aurait pu passer et le pouvoir militaire algérien aurait bien pu expliquer sa déroute. Sauf que dans le pays kabyle, il n’y a pas eu de participation du tout. Ainsi, cette région n’a ni président, ni représentants au Parlement. 
Hakim Arif