Societe
Affaire Ziane (Diffamation…). Démenti des avocats du ministère de l'Intérieur

Pour lever tout équivoque, Maîtres AbdelKbir Tabih et Ibrahim Rachidi détaillent les éléments constitutifs de leur plainte et précisent que celle-ci n’a rien à voir avec le harcèlement sexuel dont est accusé Mohamed Ziane dans d’autres affaires, contrairement à ce que prétend l’accusé dans ses sorties médiatiques.
Les avocats rappellent que le mis en cause est poursuivi principalement pour «outrage à des fonctionnaires publics et à la justice», «injure contre un corps constitué» et «diffamation». Ils rappellent aussi que le ministère de l’Intérieur avait déposé, en janvier 2021, une plainte «basée sur des faits matériels concrets, à travers lesquels des institutions de l’Etat ont été offensées via la diffusion d’accusations et d’allégations fallacieuses, sanctionnées par le Code pénal».