Cemac. La BEAC optimiste pour 2025
Au cours de l’année 2025, le taux de croissance économique dans les six pays de la zone Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad et RCA) devrait s’établir à 3,2%.
Lilia Habboul
Siège de la Beac à Yaoundé au Cameroun
Selon le rapport de politique monétaire de la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC), qui révèle ces chiffres, cet indicateur ressortirait donc en hausse, après les 2,7% enregistrés en 2024.
Le document, publié par l’institut d’émission commun aux pays de la Cemac en 2026 et 2027, indique que la croissance économique dans cet espace communautaire devrait à nouveau progresser. Elle devrait ressortir cette fois-ci à 3,8% chaque année, rapporte investir au Cameroun.
La BEAC souligne que cette prévision optimiste repose principalement sur les « différentes initiatives de transformation structurelle en cours d’implémentation, notamment la stratégie sous régionale d’import-substitution des produits du cru (viande bovine, poisson, manioc, riz) ».
Les effets de cette initiative devraient, selon la banque centrale, atténuer sur l’économie sous-régionale, les conséquences de « l’instabilité de la demande extérieure des produits exportés par les pays de la Cemac, notamment en lien avec la faiblesse de la demande chinoise et la poursuite des tensions géopolitiques ».
Le document, publié par l’institut d’émission commun aux pays de la Cemac en 2026 et 2027, indique que la croissance économique dans cet espace communautaire devrait à nouveau progresser. Elle devrait ressortir cette fois-ci à 3,8% chaque année, rapporte investir au Cameroun.
La BEAC souligne que cette prévision optimiste repose principalement sur les « différentes initiatives de transformation structurelle en cours d’implémentation, notamment la stratégie sous régionale d’import-substitution des produits du cru (viande bovine, poisson, manioc, riz) ».
Les effets de cette initiative devraient, selon la banque centrale, atténuer sur l’économie sous-régionale, les conséquences de « l’instabilité de la demande extérieure des produits exportés par les pays de la Cemac, notamment en lien avec la faiblesse de la demande chinoise et la poursuite des tensions géopolitiques ».