Société
Mondial 2030. Le Maroc ne va pas tuer les chiens errants
Une touriste britannique à Taghazout é été attendrie par la situation des chiens errants de la région. Elle a a alors pris sur elle de les nourrir pendant son séjour. Elle est revenue une année plus tard pour les voir. Selon elle, le Maroc veut tuer ces bêtes. Un nettoyage en préparation de le Coupe du monde 2030. L’ambassade du Maroc au Royaume Uni a mis les points sur les i.

Un refuge pour chiens errants à Tanger
Le Maroc a un « engagement indéfectible en faveur de solutions humaines et durables pour gérer les populations de chiens errants tout en donnant la priorité à la santé publique et au bien-être animal ».
Cette déclaration vient de l’ambassade du Maroc au Royaume uni qui précise que le pays avait « mis en œuvre des mesures globales » pour y parvenir, notamment le programme « Capture, stérilisation, vaccination, libération » (CSVL), qui a été lancé en 2019 comme une « solution humaine et efficace ».
Des circulaires ont été envoyées aux autorités locales pour souligner que les pratiques néfastes, telles que l'utilisation d'armes à feu ou de strychnine, un poison, pour contrôler les animaux errants, étaient interdites, ajoute l’ambassade.
Ainsi, les chiens marqués dans le cadre du programme CSVL doivent être protégés, a déclaré le porte-parole de l’ambassade.
Par ailleurs, un projet de décret visant à appliquer une loi protégeant la santé publique tout en garantissant le bien-être animal a également été finalisé, a souligné le porte-parole.
Il est vrai qu’il y a des chiens errants et que certaines communes avaient employé des moyens expéditifs pour s’en débarrasser. Le tollé que ces méthodes avaient généré ont créé un mouvement citoyen qui a poussé les autorités à réagir et mettre en place le programme Capture, stérilisation, vaccination, libération qui a réussi dans plusieurs villes comme Tanger.
Cette déclaration vient de l’ambassade du Maroc au Royaume uni qui précise que le pays avait « mis en œuvre des mesures globales » pour y parvenir, notamment le programme « Capture, stérilisation, vaccination, libération » (CSVL), qui a été lancé en 2019 comme une « solution humaine et efficace ».
Des circulaires ont été envoyées aux autorités locales pour souligner que les pratiques néfastes, telles que l'utilisation d'armes à feu ou de strychnine, un poison, pour contrôler les animaux errants, étaient interdites, ajoute l’ambassade.
Ainsi, les chiens marqués dans le cadre du programme CSVL doivent être protégés, a déclaré le porte-parole de l’ambassade.
Par ailleurs, un projet de décret visant à appliquer une loi protégeant la santé publique tout en garantissant le bien-être animal a également été finalisé, a souligné le porte-parole.
Il est vrai qu’il y a des chiens errants et que certaines communes avaient employé des moyens expéditifs pour s’en débarrasser. Le tollé que ces méthodes avaient généré ont créé un mouvement citoyen qui a poussé les autorités à réagir et mettre en place le programme Capture, stérilisation, vaccination, libération qui a réussi dans plusieurs villes comme Tanger.