Rencontres africaines de l’efficacité énergétique. BOA engagé pour l’Afrique verte (Vidéo)
Lors de la 10ᵉ édition des rencontres africaines de l’efficacité énergétique, Bank of Africa (BOA) a mis en avant son engagement en faveur de la finance verte et du développement durable. Son Administrateur directeur général délégué de Bank Of Africa (BOA), Brahim Benjelloun-Touimi a mis l’accent sur le rôle de ce groupe dans l’accompagnement des acteurs locaux vers une économie bas carbone, inclusive et innovante et annoncé un plan ambitieux de décarbonation à l’horizon 2030.
Mounia Kabiri Kettani
Brahim Benjelloun-Touimi, Administrateur directeur général de Bank of Africa (BOA).
Casablanca a accueilli ce mardi la 10ᵉ édition des Rencontres Africaines de l’Efficacité Énergétique (RAEE), un rendez-vous majeur qui a réuni les acteurs clés du continent autour d’un thème central : le rôle du « Made in Africa » dans la construction d’une économie bas carbone, résiliente et inclusive.
Organisé par AOB Group, l’événement a proposé un programme riche et varié mêlant conférences, ateliers et panels d’experts, portant sur des enjeux cruciaux tels que la mobilité durable, l’industrie verte, la finance carbone, et les partenariats public-privé. La présence de délégations venues du Ghana, du Sénégal, de France, d’Italie et des États-Unis a renforcé la dimension internationale et le poids stratégique de cette rencontre.
BOA, au cœur de la révolution énergétique africaine
Lors de la cérémonie d’ouverture de cette édition, Brahim Benjelloun-Touimi, administrateur directeur général de Bank of Africa (BOA), a réaffirmé l’engagement ferme et historique de la banque en faveur de la finance verte. « C’est un honneur de prendre la parole lors de cette édition anniversaire, un moment clé pour célébrer notre action en faveur de la réduction de l’empreinte carbone et de la finance climat », a-t-il souligné.
Sous la direction visionnaire de son président, Othman Benjelloun, BOA a dès les années 1990 adopté une démarche pionnière en matière d’environnement. « Nous avons créé en 1995 la Fondation BMCE Bank pour l’Éducation et l’Environnement, signé en 2000 la Charte du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, et mis en place en 2008 un système environnemental et social soutenu par la SFI », a rappelé Brahim Benjelloun-Touimi.
Plus récemment, la banque affiche des résultats tangibles : « Nous avons réduit notre empreinte carbone de 30 % depuis 2018, tout en accompagnant nos clients dans leur propre décarbonation grâce à des solutions intégrées », a-t-il expliqué. BOA a également initié la Chaîne Panafricaine de Financement Durable, un projet ambitieux en partenariat avec six institutions académiques marocaines, visant à renforcer les capacités des PME africaines en matière de durabilité. « Cette initiative reflète notre volonté de soutenir un modèle économique africain innovant, responsable et inclusif », a insisté le représentant de BOA.
Vers une feuille de route ambitieuse
Brahim Benjelloun-Touimi a annoncé que Bank of Africa s’apprête à soumettre à son conseil d’administration un plan ambitieux de décarbonation à l’horizon 2030, avec un objectif clair : « atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 ».
« La transition énergétique de l’Afrique doit être juste, progressive, mais surtout différente des modèles polluants du passé », a-t-il affirmé. Pour lui, le continent, riche en jeunesse, en ressources et en potentiel, doit impulser une industrialisation bas carbone, tournée vers la transformation locale, l’innovation et les énergies propres.
L’agriculture durable figure aussi au cœur de cette vision : « Elle doit évoluer vers des pratiques capables de séquestrer du carbone et de renforcer la résilience alimentaire », a précisé Brahim Benjelloun-Touimi.
Enfin, il a insisté sur la nécessité d’améliorer la rentabilité des énergies renouvelables africaines, d’attirer des financements innovants et de renforcer les partenariats public-privé, notamment en matière d’expertise technique.
Les 10ᵉ Rencontres Africaines de l’Efficacité Énergétique ont ainsi cristallisé une ambition collective forte : bâtir une économie africaine plus verte, plus innovante, portée par les talents et ressources locales.
« Bank of Africa est une banque orientée vers l’avenir, vers une Afrique durable », a conclu Brahim Benjelloun-Touimi, synthétisant l’engagement d’une institution déterminée à accompagner le continent dans sa transition énergétique.
Organisé par AOB Group, l’événement a proposé un programme riche et varié mêlant conférences, ateliers et panels d’experts, portant sur des enjeux cruciaux tels que la mobilité durable, l’industrie verte, la finance carbone, et les partenariats public-privé. La présence de délégations venues du Ghana, du Sénégal, de France, d’Italie et des États-Unis a renforcé la dimension internationale et le poids stratégique de cette rencontre.
BOA, au cœur de la révolution énergétique africaine
Lors de la cérémonie d’ouverture de cette édition, Brahim Benjelloun-Touimi, administrateur directeur général de Bank of Africa (BOA), a réaffirmé l’engagement ferme et historique de la banque en faveur de la finance verte. « C’est un honneur de prendre la parole lors de cette édition anniversaire, un moment clé pour célébrer notre action en faveur de la réduction de l’empreinte carbone et de la finance climat », a-t-il souligné.
Sous la direction visionnaire de son président, Othman Benjelloun, BOA a dès les années 1990 adopté une démarche pionnière en matière d’environnement. « Nous avons créé en 1995 la Fondation BMCE Bank pour l’Éducation et l’Environnement, signé en 2000 la Charte du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, et mis en place en 2008 un système environnemental et social soutenu par la SFI », a rappelé Brahim Benjelloun-Touimi.
Plus récemment, la banque affiche des résultats tangibles : « Nous avons réduit notre empreinte carbone de 30 % depuis 2018, tout en accompagnant nos clients dans leur propre décarbonation grâce à des solutions intégrées », a-t-il expliqué. BOA a également initié la Chaîne Panafricaine de Financement Durable, un projet ambitieux en partenariat avec six institutions académiques marocaines, visant à renforcer les capacités des PME africaines en matière de durabilité. « Cette initiative reflète notre volonté de soutenir un modèle économique africain innovant, responsable et inclusif », a insisté le représentant de BOA.
Vers une feuille de route ambitieuse
Brahim Benjelloun-Touimi a annoncé que Bank of Africa s’apprête à soumettre à son conseil d’administration un plan ambitieux de décarbonation à l’horizon 2030, avec un objectif clair : « atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 ».
« La transition énergétique de l’Afrique doit être juste, progressive, mais surtout différente des modèles polluants du passé », a-t-il affirmé. Pour lui, le continent, riche en jeunesse, en ressources et en potentiel, doit impulser une industrialisation bas carbone, tournée vers la transformation locale, l’innovation et les énergies propres.
L’agriculture durable figure aussi au cœur de cette vision : « Elle doit évoluer vers des pratiques capables de séquestrer du carbone et de renforcer la résilience alimentaire », a précisé Brahim Benjelloun-Touimi.
Enfin, il a insisté sur la nécessité d’améliorer la rentabilité des énergies renouvelables africaines, d’attirer des financements innovants et de renforcer les partenariats public-privé, notamment en matière d’expertise technique.
Les 10ᵉ Rencontres Africaines de l’Efficacité Énergétique ont ainsi cristallisé une ambition collective forte : bâtir une économie africaine plus verte, plus innovante, portée par les talents et ressources locales.
« Bank of Africa est une banque orientée vers l’avenir, vers une Afrique durable », a conclu Brahim Benjelloun-Touimi, synthétisant l’engagement d’une institution déterminée à accompagner le continent dans sa transition énergétique.