Musique
Jazzablanca 2025 : Seu Jorge ou quand la fièvre de la Samba moderne s’empare de Casablanca
Venu présenter son nouvel album Baile à la Baiana (2025) à la 18e édition de Jazzablanca, la star brésilienne du samba rock qui se produit pour la première fois au Maroc nous parle de son nouvel opus et de l’incroyable accueil que lui a réservé le public marocain lors de son concert sur la scène Anfa Park.
Kawtar Firdaous
La star brésilienne Seu Jorge-Jazzablanca 2025.
Avec sa voix envoûtante et son charisme naturel, Seu Jorge a fait vibrer vendredi soir la scène Anfa Park. Réputée pour son style mêlant samba, musiques populaires et influences pop, la star brésilienne a alterné entre ses classiques : Carolina, O-Mundo é Um Moinho, et ses célèbres reprises de David Bowie en portugais, livrant un concert époustouflant.
Emu par l’accueil chaleureux que lui a réservé le public marocain, la star brésilienne nous a confié « adorer le Maroc, sa musique, sa nourriture -le couscous...-, ses gens,... ».
Je me sens vraiment comme chez moi, nous a-t-il confié juste après son concert. Les gens sont chaleureux, sympathiques et l’accueil du public est juste incroyable ». Pour lui, « Jazzablanca est une véritable célébration de la musique et de la diversité culturelle, précisant que tous les musiciens présents au festival partagent le même amour pour le jazz ».
Connu pour avoir modernisé la samba en y introduisant de la pop et du groove teinté de funk, Seu Jorge est actuellement en tournée pour son un nouvel album « Baile à la Baiana ». Il nous parle de ce qui l’a inspiré pour cet opus composé de 11 titres de samba rock, avec sonorités latines proches du merengue ou même de la biguine antillaise.
Un album solo qui incite à la danse et qui, dit-il : « célèbre les rencontres, en premier lieu, de la connexion entre la musique carioca et la musique bahianaise ». Le musicien connecte ainsi deux villes, Rio de Janeiro et Salvador de Bahia, marquées par leurs traditions musicales et tout un héritage culturel commun, mais aux énergies pourtant bien différentes.

Emu par l’accueil chaleureux que lui a réservé le public marocain, la star brésilienne nous a confié « adorer le Maroc, sa musique, sa nourriture -le couscous...-, ses gens,... ».
Je me sens vraiment comme chez moi, nous a-t-il confié juste après son concert. Les gens sont chaleureux, sympathiques et l’accueil du public est juste incroyable ». Pour lui, « Jazzablanca est une véritable célébration de la musique et de la diversité culturelle, précisant que tous les musiciens présents au festival partagent le même amour pour le jazz ».
Connu pour avoir modernisé la samba en y introduisant de la pop et du groove teinté de funk, Seu Jorge est actuellement en tournée pour son un nouvel album « Baile à la Baiana ». Il nous parle de ce qui l’a inspiré pour cet opus composé de 11 titres de samba rock, avec sonorités latines proches du merengue ou même de la biguine antillaise.
Un album solo qui incite à la danse et qui, dit-il : « célèbre les rencontres, en premier lieu, de la connexion entre la musique carioca et la musique bahianaise ». Le musicien connecte ainsi deux villes, Rio de Janeiro et Salvador de Bahia, marquées par leurs traditions musicales et tout un héritage culturel commun, mais aux énergies pourtant bien différentes.

La performance du brésilien Seu Jorge a ébloui les festivaliers de Jazzablanca.
Musicien et acteur talentueux confirmé, Seu Jorge est rendu célèbre grâce à son rôle dans le film La cité de Dieu (2002) réalisé par Fernando Mereilles et Katia Lund. Réputé pour sa forte présence scénique, il évoque avec nous sa passion pour l’acting et nous parle de ses films qui vont bientôt sortir notamment : "The Best Mother in the World" de Anna Muylaert qui raconte l'histoire d'une mère travailleuse qui se bat pour la sécurité de ses jeunes enfants, et où il campe le rôle d’un personnage compliqué et violent.