Sur la route d’Anfeg
Samedi, 5h30, il fait encore nuit à Tiznit et Si Ali, notre chauffeur « khettaf » censé nous conduire jusqu’à Anfeg tarde à arriver. Trente minutes plus tard, il déboule en trombe sur sa vieille Peugeot 405. Large sourire aux lèvres, long ruban blanc sur la tête,...