Forum Global de l’investissement Dubai 2021 : Le Maroc sous les projecteurs

Le Sommet Global de l’investissement Dubai 2021 a clos ses travaux hier, mercredi 2 juin, avec la participation, du côté marocain, de Mounssif Adarkaoui, directeur des études et des prévisions financières au ministère de l'économie et des finances ; Mehdi Tazi, vice-président général de la CGEM et Steve-O’Hana, président du Conseil d’affaires Maroc-Israël.



Le Maroc a fait beaucoup parler de lui à travers le Forum Global de l'investissement, notamment lors du panel qui a été dédié au Royaume. A cette occasion et à l’invitation de L’Observateur du Maroc, partenaire médiatique du Global Investment Forum Dubai 2021, Mounssif Adarkaoui, Mehdi Tazi et Steve-O’Hana ont présenté les principaux atouts et les potentialités du Maroc en lien avec l'investissement en Afrique. Ayant été chaleureusement applaudi, le panel marocain a été l’un des rares à avoir été suivi de bout en bout par l’ancien Premier ministre israélien, Ehud Olmert, invité de marque de l'évènement.

Comme on peut le voir dans la vidéo immortalisant la participation marocaine, aux questions posées par L’Observateur du Maroc, Mounssif Adarkaoui, qui représentait le ministre de l'Economie, des finances et de la réforme de l'administration à ce Forum, le vice-président général de la CGEM, Mehdi Tazi et le président du Conseil d'affaires Maroc-Israël, Steve O’Hana ont su montrer, avec des indicateurs chiffrés, concrets et édifiants, que le Royaume est légitimement la porte la mieux indiquée pour des des investisseurs étrangers qui seraient intéressés par des implantations réussies dans le continent.

Organisé le long de la journée du mercredi 2 juin, au cœur du centre des affaires à Dubai, à l'initiative du "The Abrahamic Business Circle", en partenariat avec le Jerusalem Post et Khaleej Times, e Forum Global de l’investissement a vu se succéder à sa tribune des hommes d’affaires de renom et de hauts responsables politiques dubaïotes et israéliens. Cet avènement a été également marqué par la présence de nombreux «chasseurs d’opportunités d’affaires» notamment chinois et indiens.