L’auteur des confessions dominicales s’étonne de voir le Maroc, en particulier, ciblé par un torrent d’articles accusateurs signés par des médias relevant de «Forbiden Stories» alors que «Pegasus Project» concerne, en principe une quarantaine de pays. Ajoutées au manque de preuve des allégations d’espionnage criés à hue et à dia, les incohérences relevées dans les assertions pernicieuses glissées, qui ne sont rien d’autre qu’un remarke des divagations proférées il y a un an par Amnesty, suffisent pour montrer les motivations des commanditaires de cette attaque groupé fomenté contre le Royaume.

«Une certaine mentalité colonialiste n’arrive toujours pas à accepter de voir le Maroc réaliser des avancées spectaculaires en toute souveraineté», argument-il pour aller dans le vif du sujet. En déconstruisant une à une les accusations d’espionnage massif dont a fait l’objet le Maroc de la part d’accusateurs dont l’inimitié atavique contre le Royaume n’est qu’un secret polichinelle, Abou Wael Al-Rifi conclut que les faux investigateurs et vrais affabulateurs sont mal tombés. «Parce que le Maroc ne se laisse pas impressionner par de telles gesticulations rocambolesques, sa voie étant tracé et ses objectifs étant clairs, c’est la justice qui aura son mot à dire contre ses adversaires», conclut-il en décrivant tous les cris récemment émis dans le vent de «tempête dans un verre d’eau» qui va vite passer...