Elections. Le PJD menace les Marocains d’une révolution
Seules les mafias le font, menacer tout un pays d'une révolution

Encore une fois le PJD menace les Marocains. S'il tombe, il entraînera tout le pays dans sa chute. Ayant paniqué suite aux événements de Tunisie, il commence à planter le décor de la situation après sa déroute.

Le PJD est au second stage. Les menaces. C’est l’inutile et oiseuse ministre de la famille qui affirme que « l’Etat est obligé d’accepter le PJD de gré ou de force ». A qui s’adresse-t-elle puisque le PJD fait partie de l’Etat? En fait le message est adressé à la monarchie. Ils ont toujours utilisé des expressions détournées par lâcheté. Donc cette agitée qui n’aurait jamais dû être ministre, menace directement le chef de l’Etat. Et qui est donc le chef de l’Etat?

Encore plus et sans aucune ambiguïté, un ancien député, déjà connu pour ses sorties mal placée a promis que si Aziz Akhannouch et donc son parti le RNI gagne les élections prochaines, il y aura la révolution aux Maroc. Une bien curieuse idée de la démocratie. D’ailleurs les frères musulmans ne reconnaissent pas la démocratie, pour eux c’est une invention des infidèles.

Partout où les partis affiliés aux frères musulmans, manipulés par la Turquie et le Qatar se font liquider (politiquement) ils sortent les armes. Ils ont essayé en Egypte, ils ont récidivé en Tunisie et maintenant au Maroc, le PJD tente la même méthode. Mais qui a vraiment peur de la révolution au Maroc?

Toutefois, cela mérite une réflexion profonde sur la nature de ce parti. Si ses membres font ces déclarations juste après les déboires des frères musulmans en Tunisie, c’est que la secte a peur et sait que les Marocains ont finalement compris son jeu et que ceux qui la soutiennent ne le font que parce qu’elle leur donne de l’argent, des moutons, des petits commerces (comme les petits vendeurs de CD coraniques qui sillonnent les rues avec leur sono à fond).

Les frères musulmans se serrent les fesses, ils craignent que la constitution leur tombe sur la tête. Mais au Maroc, tout va perte réglé dans les bureaux de vote. Mais auparavant, ces menaces ne sont-elles pas des actes terroristes?

PS. Quoi qu'ils disent, ce ni l'armée en Egypte ni le président en Tunisie qui ont fait tomber l'épouvantail des frères, mais les peuples qui ont compris que cette secte, qui est arrivée par le sang, n'a rien à leur proposer et qu'elle a utilisé les moyens de l'Etat pour enrichir ses membres.