Hydrogène vert. L’IRESEN peut compter sur la BERD
La Banque Européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) annonce unir ses forces avec celles de l’Institut de Recherche en Énergie Solaire et Énergies Nouvelles (IRESEN) en faveur des énergies alternatives, à commencer par l’hydrogène.
Dans un nouvel accord signé ce mardi 28 septembre à Rabat, la BERD et IRESEN affirment s'engager à renforcer leur coopération pour la promotion des investissements, visant à accélérer la transition énergétique verte du Royaume.
Le champ de cette coopération couvrira un certain nombre de domaines d'intérêt commun, notamment l'hydrogène vert, les énergies renouvelables, les réseaux électriques intelligents, l’efficacité énergétique, le stockage d'énergie et la mobilité durable.
« L’IRESEN se réjouit de ce nouvel accord avec la BERD visant à soutenir l’accélération de la transition énergétique du Royaume. L’accord scellé aujourd’hui est un gage de confiance dans le travail des équipes d’IRESEN, depuis 10 ans maintenant, dans l’accompagnement de la stratégie énergétique du Maroc, en matière de R&D, d’innovations et de renforcement des capacités », explique Badr Ikken. Le directeur Général de l’IRESEN affirme également que ce partenariat confirme que la décarbonation passe aussi, au niveau national, par le développement et l’adoption de solutions technologiques durables et adaptées au contexte marocain. « Ceci est l’objectif principal de cette alliance entre la BERD et IRESEN », insiste-t-il.
Dans son communiqué d’annonce du. Nouveau partenariat, la BERD souligne que le Maroc est reconnu pour avoir une stratégie énergétique très ambitieuse (le pays s'est engagé à atteindre d’ici 2030 plus de 52 % de la capacité de production d'électricité installée à partir de sources renouvelables) et s’érige régulièrement en pionnier de nouvelles technologies vertes.
L’institution financière européenne rappelle qu’elle soutient la décarbonation du mix énergétique marocain ainsi que l'énergie verte et durable du pays à travers des financements directs et indirects et des initiatives de dialogue politique.
L’accord scellé avec l’IRESEN s’inscrit donc dans le prolongement de cet appui. « Nous sommes très fiers de nous associer à l'IRESEN pour renforcer notre engagement dans la transition verte du Maroc », affirme Antoine Sallé de Chou. Et le directeur de la BERD au Maroc d’ajouter : « relever le défi climatique n'est pas une option, mais une obligation. Il est donc important d'explorer toutes les technologies énergétiques propres crédibles pour accélérer la transition énergétique verte du pays. Tel est l’objet de notre mémorandum d’aujourd’hui. »
De son côté, , Harry Boyd-Carpenter affirme que BERD, dont il le directeur général, est pleinement engagée à soutenir le développement des chaînes de valeur de l'hydrogène vert. « En combinaison avec une électricité renouvelable compétitive, l'hydrogène vert est un ingrédient clé pour accélérer la décarbonation et a un fort potentiel au Maroc. Nous sommes très heureux de commencer notre coopération avec IRESEN aujourd'hui », souligne-t-il.
Le Maroc est un membre fondateur de la BERD et est devenu un pays d'opérations en 2012. A ce jour, la BERD affirme avoir investi 3,0 milliards d'euros dans le Royaume à travers 74 projets.
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Le champ de cette coopération couvrira un certain nombre de domaines d'intérêt commun, notamment l'hydrogène vert, les énergies renouvelables, les réseaux électriques intelligents, l’efficacité énergétique, le stockage d'énergie et la mobilité durable.
« L’IRESEN se réjouit de ce nouvel accord avec la BERD visant à soutenir l’accélération de la transition énergétique du Royaume. L’accord scellé aujourd’hui est un gage de confiance dans le travail des équipes d’IRESEN, depuis 10 ans maintenant, dans l’accompagnement de la stratégie énergétique du Maroc, en matière de R&D, d’innovations et de renforcement des capacités », explique Badr Ikken. Le directeur Général de l’IRESEN affirme également que ce partenariat confirme que la décarbonation passe aussi, au niveau national, par le développement et l’adoption de solutions technologiques durables et adaptées au contexte marocain. « Ceci est l’objectif principal de cette alliance entre la BERD et IRESEN », insiste-t-il.
Dans son communiqué d’annonce du. Nouveau partenariat, la BERD souligne que le Maroc est reconnu pour avoir une stratégie énergétique très ambitieuse (le pays s'est engagé à atteindre d’ici 2030 plus de 52 % de la capacité de production d'électricité installée à partir de sources renouvelables) et s’érige régulièrement en pionnier de nouvelles technologies vertes.
L’institution financière européenne rappelle qu’elle soutient la décarbonation du mix énergétique marocain ainsi que l'énergie verte et durable du pays à travers des financements directs et indirects et des initiatives de dialogue politique.
L’accord scellé avec l’IRESEN s’inscrit donc dans le prolongement de cet appui. « Nous sommes très fiers de nous associer à l'IRESEN pour renforcer notre engagement dans la transition verte du Maroc », affirme Antoine Sallé de Chou. Et le directeur de la BERD au Maroc d’ajouter : « relever le défi climatique n'est pas une option, mais une obligation. Il est donc important d'explorer toutes les technologies énergétiques propres crédibles pour accélérer la transition énergétique verte du pays. Tel est l’objet de notre mémorandum d’aujourd’hui. »
De son côté, , Harry Boyd-Carpenter affirme que BERD, dont il le directeur général, est pleinement engagée à soutenir le développement des chaînes de valeur de l'hydrogène vert. « En combinaison avec une électricité renouvelable compétitive, l'hydrogène vert est un ingrédient clé pour accélérer la décarbonation et a un fort potentiel au Maroc. Nous sommes très heureux de commencer notre coopération avec IRESEN aujourd'hui », souligne-t-il.
Le Maroc est un membre fondateur de la BERD et est devenu un pays d'opérations en 2012. A ce jour, la BERD affirme avoir investi 3,0 milliards d'euros dans le Royaume à travers 74 projets.