Confessions dominicales. Le vil et vain baroud du déshonneur de certains néocolonialistes français
Des extraits d'autres chroniques d'Abou Wael Al-Rifi sur les "ennemis de l'ombr" du Maroc

Le Maroc avance sans se laisser perturber par certains agitateurs de l’État profond en France qui font les pieds et les mains pour nuire au Royaume, souligne Abou Wael Al-Rifi. L’auteur des Confessions dominicales fait remarquer que, comme par hasard, une poussée d’urticaire se faire remarquer chez ces néocolonialistes chaque été.

C’est devenu un rituel, à l’approche de célébrations hautement symbolique pour les Marocains que sont la fête du Trône et la Révolution du Roi et du peuple, certains agitateurs relevant d’un État profond français, qui ne dit pas son nom, multiplient leurs manœuvres désespérées contre le Royaume.

A ceux-là, l’auteur des Confessions dominicales rappellent le lien indéfectible entre Les Marocains et leur Monarque. C’est cet attachement, que personne ne pourra ébranler, qui avait permis hier de libérer le Royaume du joug du protectorat et qui fait encore aujourd’hui sa force face aux nombreux défis colossaux que le pays relève avec succès en provoquant une maladive jalousie chez ses ennemis, poursuit-il.

Le chroniqueur avait déjà relevé divers faits et gestes de ces nostalgiques de l’ère colonialiste qui peinent à voir en le Maroc autre chose qu’une ancienne colonie devant continuer à ne jurer que par son ancien colonisateur.

Voir le Royaume multiplier les avancées tant géostratégiques que socio-économiques, ajoute-t-il, provoque un complexe tenace chez ces nostalgiques du protectoral. Du coup, poursuit l’auteur des Confessions dominicales, ces complexés font feu de tout bois en tentant de salir l’image de ce Maroc qui n’accorde aucune attention à leurs manigances.

Sinon, s’interroge Abou Wael, comment expliquer que l’Agence de presse officielle française s’autorise une extrapolation alambiquée en choisissant d’attribuer, dans l’une de ses récentes dépêches, une grave accusation contre le Maroc à l’ancienne chef de la diplomatie espagnole alors qu’Arancha González ne l’avait à aucun moment proférée ?

Le chroniquer précise que le long de son interview, l’ancienne responsable espagnole s’était bien gardée de prononcer la moindre critique contre le Maroc. Elle sait, note l’analyste, l’importance géostratégique des relations hispano-marocaines qui sont entrées désormais dans une nouvelle phase. Ce revirement, relève Abou Wael, n’est pas du goût de ceux qui font leur choix gras des discordes.

Or, autorités marocaines et espagnoles avancent en laissant divaguer les divagateurs et en mettant le cap sur l’avenir, écrit Abou Wael.

L’analyste souligne la pertinence du choix du Maroc, sous les Hautes Orientations de son Souverain, de diversifier en toute souveraineté ses partenariats à travers le monde. C’est ce choix, ayant permis au pays, qui irrite certaines parties en France, note l’auteur des Confessions dominicales. Ce dernier soupçonne ces parties d’être derrière notamment les traitements inadmissibles dont se plaignent les Marocains demandeurs de visa français. Une manière de titiller le Maroc qui va de l’avant, sans se retourner, souligne l’analyste, en notant que la France, elle, collectionne les écueils. Et Abou Wael de conclure : «La maison Maroc est en acier et non en verre et n’a donc rien à craindre des pierres qui lui sont jetées de-ci de-là, ajoute-t-il».