Le régime algérien confirme son statut de premier ennemi de l’UMA
Moussa Faki recevant les lettres de créance d'Amina Salmane

La nomination de la diplomate marocaine Amina Salmane en tant que représentante permanente de l’Union du Maghreb arabe auprès de l’Union africaine affole le régime algérien.

Habitué aux manœuvres souterraines, le régime algérien voit rouge à chaque fois que le respect des règles l’emporte sur ses magouilles. C’est encore le cas suite à la nomination de la diplomate marocaine, chevronnée, en qualité de représentante permanente de l’Union du Maghreb arabe (UMA) auprès de l’Union africaine (UA).

Alors que cette nomination a été effectuée dans le strict respect des procédures administratives de l’UMA et de celles de l’UA, le régime algérien, affolé, s’attaque au secrétaire général de cette Union, et même au président de la Commission de l’UA après l’échec de ses tentatives de blocage. Or, Taieb Baccouche et Moussa Faki ont eu le mérite de ne pas céder à la pression algérienne et ont fait triompher la légalité en agissant dans le strict respect de leurs prérogatives.

De toute évidence, ce qui fâche les pleurnicheurs du palais d’Al Mouradia c’est que le Maroc leur a, encore une fois, damé le pion en ajoutant à son palmarès cette nouvelle victoire diplomatique.

La nouvelle défaite algérienne est le sujet de l’heure dans les chancelleries. Celles-ci ont de quoi rire à la lecture du communiqué publié par les marionnettistes galonnés. Ceux-ci ont jugé la nomination de l’ancienne consul du Maroc à Vérone en Italie de "désinvolte, d’irréfléchie, d’irresponsable, téméraire" et de "précipitée". Cette profusion de qualificatifs est en vérité un aveu d’échec qui montre le profond désarroi du régime algérien qui voit s’effriter ce qui lui reste de soutiens. C’est aussi la confirmation, si besoin est, que Tebboune & Cie nourrissent une haine viscérale de toute union qu’elle soit maghrébine ou même africaine. C’est le fondement même de leur idéologie politique qu’ils tentent de propager en achetant leurs adeptes à coup de pétrodollars. Sauf qu’il y a des consciences qui ne cèdent pas à ce vil marchandage.



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