Crédit du Maroc offre des bourses d’études
nBernard Muselet, Pru00e9sident du Directoire du Cru00e9dit du Maroc, Jean-Pascal Darriet, Pru00e9sident de la CFCIM, Amine Barkate, Directeur de lu2019ESA, Stu00e9phane Clerisse, Membre du Directoire du Cru00e9dit du Maroc en charge du Pu00f4le Fonctionnement, Myriam Nasrollah, Secru00e9taire Gu00e9nu00e9ral du Groupe Cru00e9dit du Maroc, Soukaina Rachid, Directeur de lu2019Universitu00e9 du Cru00e9dit du Maroc, Claudia Gaudiau-Francisco, Premiu00e8re Vice-Pru00e9sidente de la CFCIM, Serge Mak, Vice-Pru00e9sident Du00e9lu00e9guu00e9 aux Relations Institutionnelles, Philippe Cros, Directeur Gu00e9nu00e9ral de la CFCIM.

Crédit du Maroc et sa Fondation ont signé, le 13 octobre, une convention de partenariat avec la Chambre Française de Commerce et d’Industrie du Maroc (CFCIM) pour son école ESA de Casablanca.

Ainsi, la Fondation Crédit du Maroc prend en charge 50% des frais de scolarité de deux étudiants. Les deux boursiers « bénéficieront également d’un programme de mentoring afin de les accompagner dans le développement de leur parcours d’apprentissage de la vie professionnelle et des attentes des entreprises », assure le communiqué de la banque.

Par ailleurs, les étudiants de l’ESA de Casablanca pourront bénéficier durant leur cursus universitaire, de l’expertise et de l’expérience des femmes et des hommes du Crédit du Maroc afin de mieux appréhender le milieu professionnel, sur des sujets divers et variés dont notamment les ressources humaines, la finance, le management, le marketing et la communication.

Selon Crédit du Maroc, « ce partenariat s’intègre naturellement dans le projet moyen terme du Crédit du Maroc à horizon 2022, et plus précisément dans deux de ses projets phares, le projet humain qui vise l’excellence du capital humain et le projet sociétal qui vise l’insertion sociale des jeunes. Il permettra aux deux organisations de travailler ensemble dans le cadre de leur dynamique de transformation respective et la création d’opportunités d’enrichissement réciproque ».