« Les attaques des combattants de l’APLS (sous-traitant armé de l’Algérie à Tindouf) continuent de cibler les positions des soldats d'occupation, qui ont subi des pertes humaines et matérielles considérables le long du mur de la honte », c’était le communiqué du « ministère » de la défense du groupe des desperados du Polisario. Un ministère payé sur le budget des Algériens, mais c’est une autre histoire.

Et comme tous les autres communiqués de guerre, nous en sommes à plus de 146, on ne précise pas ces pertes, ni humaines ni matérielle. Seule vérité, le mur existe bien mais c’est une honte pour l’Algérie qui permet à des terroristes d’attaquer (si c’est vrai) un territoire khawa-khawa.

Déjà que le communiqué qui est daté du dimanche 10 avril, parle de deux prétendues attaques qui auraient eu lieu le vendredi 8 avril. Il a fallu donc deux jours pour le rédiger, certainement par les services de renseignement, l’envoyer à l’agence de presse du Polisario qui l’envoie à l’agence algérienne, avec le tampon du général en chef.

Après le coup de maître du droneque qui a éliminé le chef de la gendarmerie des mercenaires, le Polisario augmente la dose de mensonges pour calmer les Populations séquestrées à Tindouf et montre à ses bailleurs de fondas qu’il bosse bien.

Or, on sait que les informations de guerre n’ont plus d’impact si elles ne sont pas diffusées en temps réel. Du pipeau on vous dit. Mais les généraux algériens n’en sont pas à une gaffe près. Il suffit d’écouter ce que disent d’eux les Algériens eux-mêmes, qui veulent leur indépendance comme ils le crient dans le Hirak. Qui sont donc les soldats d’occupation? Une idée mon général?