La police espagnole a identifié formellement Brahim Ghali
Des policiers sont allés voir, ce mercredi, Brahim Ghali dans le lieu de son hospitalisation. Ils ont envoyé aussitôt leur rapport au juge d’instruction Santiago Pedraz Gomez qui avait ordonné son identification.
Le juge d’instruction auprès de l’Audiencia Nacional, Santiago Pedraz Gomez sait désormais que c’est bien Brahim Ghali qui est hospitalisé à l’hôpital public de Logroño, près de Saragosse, au nord de l’Espagne.
La Razón rapporte que des policiers sont bien allés voir le chef des séparatistes du Polisario pour procéder à son identification, comme le leur avait ordonné le juge Santiago Pedraz Gomez. Le quotidien espagnol révèle que les identificateurs ont pu s’assurer qu’il s’agit bien de Brahim Ghali, même si ce dernier ne dispose d’aucun papier officiel sur lui. D’après la même source, le médecin algérien l’accompagnant leur a montré le faux passeport de Mohamed Ben Batouche utilisé par le «recherché». Cette manœuvre n’a pas leurré les fins limiers.
Selon des informations recueillies par La La Razón, qui cite des sources judiciaires, les policiers ont confirmé qu’il s’agit bien de Brahim Ghali et que ce dernier se trouve sous respiration assistée.
La décision appartient maintenant au juge de Santiago Pedraz Gomez. Va-t-il auditionner malgré tout, vendredi 7 mai comme prévu, celui qu’on accuse d’enlèvement, de séquestration et de tortures ?
Les nombreux accusateurs de Brahim Ghali attendent avec impatience la réponse.
La Razón rapporte que des policiers sont bien allés voir le chef des séparatistes du Polisario pour procéder à son identification, comme le leur avait ordonné le juge Santiago Pedraz Gomez. Le quotidien espagnol révèle que les identificateurs ont pu s’assurer qu’il s’agit bien de Brahim Ghali, même si ce dernier ne dispose d’aucun papier officiel sur lui. D’après la même source, le médecin algérien l’accompagnant leur a montré le faux passeport de Mohamed Ben Batouche utilisé par le «recherché». Cette manœuvre n’a pas leurré les fins limiers.
Selon des informations recueillies par La La Razón, qui cite des sources judiciaires, les policiers ont confirmé qu’il s’agit bien de Brahim Ghali et que ce dernier se trouve sous respiration assistée.
La décision appartient maintenant au juge de Santiago Pedraz Gomez. Va-t-il auditionner malgré tout, vendredi 7 mai comme prévu, celui qu’on accuse d’enlèvement, de séquestration et de tortures ?
Les nombreux accusateurs de Brahim Ghali attendent avec impatience la réponse.